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  • Un projet de loi sur les motos-taxis devrait entrer en vigueur au plus tard en septembre.

    taxi moto goldwing avec passager

    Le transport de personnes à moto négocie en 2009 un virage serré. En effet, après plusieurs années d’existence, le secteur devrait cette année être enfin réglementé, au grand bonheur des professionnels. À commencer par Motocab qui avec une flotte de 50 Goldwing s’affirme aujourd’hui comme le leader du transport de personnes à moto. « La réglementation est importante car elle va permettre de structurer la profession qui compte aujourd’hui un grand nombre d’acteurs pas toujours conscients des règles en matière de sécurité, d’assurance, etc. », souligne son président, Philippe Hervé. Le phénomène a connu un tel engouement ces dernières années que nombre d’indépendants se sont engouffrés dans la brèche. On compte ainsi aujourd’hui en France 95 sociétés dédiées à ce service pour une flotte totale de 350 véhicules. Un marché morcelé que la réglementation va contribuer à professionnaliser. « Résumé à sept articles, le projet de loi devrait être adopté rapidement et entrer en vigueur au plus tard en septembre », espère Philippe Hervé.

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    Source: La tribune.fr

  • Grève : pensez aux motos-taxis

    A tous ceux qui essaieront de se déplacer dans la journée de demain, malgré la grève, et qui sont prêts à payer pour cela, voici peut-être la solution. La moto-taxi devrait vous assurer des déplacements plus rapides que la voiture et les transports en commun. Pour des tarifs compris entre 25 et 80 € selon la distance à parcourir, les motos-taxis peuvent vous emmener d’un point A à un point B dans toute l’Ile-de-France en un minimum de temps.

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    Source: Le Parisien

  • Taxi moto: étude de marché

    Sur le site Internet de la société de taxi moto Urban Driver, comparez les tarifs pratiqués par les principaux acteurs du service de Moto Taxi sur Paris et région Parisienne.

    Les prix ont été relevés au mois de Janvier 2009 sur les sites internets des différentes sociétés de Taxi moto pour les trois trajets suivants: Paris-Paris, Paris-Orly, Paris-Roissy.

    Résultat de l’étude à lire ICI.

  • Friction entre les Taxis et Taxi motos en province

    Ces derniers mois, des motos-taxis ont fait leur apparition dans le Grand-Ouest. À Brest, le torchon brûle actuellement entre des artisans-taxis et un nouveau venu à deux roues. Victime d’intimidations, ce dernier a porté plainte.

    Difficile de se frayer une place dans le trafic du transport de personnes quand on est moto-taxi. Pour preuve les menaces proférées à l’encontre de Jean-Luc Lotrian, un ancien chauffeur routier âgé de 44 ans qui s’est installé à son compte à Brest, au guidon d’un scooter de 250 cm³. « Il y a quelques jours, alors que j’étais posté à la gare, un chauffeur de taxi m’a clairement dit que si je voulais poursuivre mon activité, il fallait que j’évite les rues trop sombres ». Un message clair qui a incité Jean-Luc Lotrian à porter plainte. Mais pourquoi cette hostilité ? Primo, les motos-taxis ont prospéré ces derniers temps sur un beau vide juridique. En effet, contrairement aux taxis classiques, ils n’ont besoin d’aucune licence (150.000 € environ) pour exercer. Les chauffeurs à quatre roues considèrent donc que les motos et scooters représentent une concurrence déloyale.
    Une activité parfaitement légale
    « Mon activité est parfaitement légale, se défend Jean-Luc Lotrian.
    Je suis inscrit au registre du commerce et je paye une assurance spécifique pour exercer mon métier. Avant de m’installer, j’ai prévenu tout le monde. L’argument de concurrence déloyale ne tient pas debout. Car ma clientèle est vraiment différente ». L’aéroport où il entend travailler régulièrement, mais également la mairie, ne semblent pas hostiles à l’apparition de ce nouveau métier. Elle a même prévu d’octroyer une autorisation d’emprunter les couloirs de bus à l’unique moto-taxi de la ville.

    Des précédents à Nantes

    L’hostilité envers les transporteurs à deux roues n’est pas nouvelle. Il y a quelques mois, c’est à Nantes, où trois entreprises sont référencées, qu’elle était la plus palpable. Stéphane Léonard, qui prend en charge sa clientèle sur une puissante Goldwing, en sait quelque chose. « On m’a menacé au téléphone. Un jour, un taxi m’a serré contre un trottoir. J’ai évité de peu l’accident ». La situation s’est apaisée à l’issue d’une longue discussion avec le président du syndicat des taxis nantais. « Les chauffeurs se sont rendu compte qu’on ne leur faisait pas de l’ombre », poursuit Stéphane Léonard. Il estime que la clientèle n’est pas la même. Les personnes âgées, par exemple, ne font jamais appel à ses services. Comme celles qui craignent la pluie et le froid. Autre grande différence, les motos-taxis nantais travaillent exclusivement sur réservations, via internet, et ne pêchent pas le client sur le trottoir. À Brest, Jean-Luc Lotrian est prêt à tout pour exercer son métier dans de bonnes conditions. « Je suis disposé à intégrer un groupement, en payant le quart du prix d’une licence. Normal, je ne dispose que d’une place passager ».

    Didier Déniel

    Une législation en devenir

    Le gouvernement a demandé au préfet Chassigneux d’analyser un rapport sur le transport des personnes. Voici, en résumé, ses principales conclusions concernant les motos-taxis qui circulent en grande majorité dans la région parisienne (plus de 300 véhicules). Ces conclusions pourraient être mises en application cette année :
    1. La prise en charge de la clientèle ne pourrait se faire que sur réservation ;
    2. Les véhicules seraient soumis à un contrôle technique annuel ;
    3. Il serait interdit aux motards de faire mention de leur activité sur leur deux-roues ;
    4. Les conducteurs seraient soumis à une visite médicale annuelle.
  • Tarifs Taxi 2009: + 3.2% à compter du 1er Janvier 2009

     JORF n°0304 du 31 décembre 2008 page 20623
    texte n° 88

    ARRETE
    Arrêté du 22 décembre 2008 relatif aux tarifs des courses de taxi

    NOR: ECEC0828252A

    JORF n°0304 du 31 décembre 2008

    Texte n°88

    La ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi,

    Vu l’article L. 410-2 du code de commerce et le décret n° 2002-689 du 30 avril 2002 fixant ses conditions d’application ;

    Vu le décret n° 87-238 du 6 avril 1987 réglementant les tarifs des courses de taxi, modifié par le décret n° 2005-313 du 1er avril 2005,

    Arrête : 

    Article 1

    Le prix de la course de taxi définie à l’article 3 du décret du 6 avril 1987 susvisé peut être majoré de 3,2 % à compter du 1er janvier 2009.

    La majoration est répartie entre les trois composantes de la course : prise en charge, indemnité kilométrique, heure d’attente ou de marche lente.

    Les prix ainsi déterminés peuvent être arrondis au centime d’euro supérieur. 

    Article 2

    Les composantes de la course ne doivent pas, après majoration, dépasser les montants suivants :

    a) Prise en charge : 3,32 euros.

    b) Indemnité kilométrique : 0,91 euro.

    c) Heure d’attente ou de marche lente : 30,56 euros.

    Lorsqu’il existe plusieurs tarifs horaires, leur moyenne arithmétique ne doit pas dépasser ce montant.

    Une information par voie d’affichette apposée dans le véhicule doit indiquer à la clientèle les conditions d’application de la prise en charge. 

    Article 3

    Dans les départements à quatre tarifs, les courses retenues pour l’application de chacun de ces tarifs sont ainsi définies :

    Tarif A : course de jour avec retour en charge à la station ;

    Tarif B : course de nuit avec retour en charge à la station ou course effectuée le dimanche et les jours fériés avec retour en charge à la station ;

    Tarif C : course de jour avec retour à vide à la station ;

    Tarif D : course de nuit avec retour à vide à la station ou course effectuée le dimanche et les jours fériés avec retour à vide à la station.

    Le prix du kilomètre du tarif B peut excéder celui du kilomètre du tarif A sans lui être supérieur de plus de 50 % ; un écart identique doit exister entre les prix du kilomètre D et C qui correspond au doublement pour retour à vide des tarifs précités. 

    Article 4

    Dans les départements à trois tarifs avec zone de tarification, les courses retenues pour l’application de chacun de ces tarifs sont ainsi définies :

    Tarif A : course de jour à l’intérieur de la zone d’application du tarif ;

    Tarif B : course de jour à l’intérieur de la zone d’application de ce tarif ou course de nuit à l’intérieur de la zone de tarif A ou course effectuée le dimanche et les jours fériés à l’intérieur de la zone de tarif A ;

    Tarif C : course effectuée au-delà de la zone d’application du tarif B ou course de nuit à l’intérieur de la zone de tarif B ou course effectuée le dimanche et les jours fériés à l’intérieur de la zone de tarif B. 

    Article 5

    Dans la zone des taxis parisiens, les courses retenues pour l’application de chacun des tarifs sont ainsi définies :

    Tarif A : course effectuée dans la zone urbaine entre 10 heures et 17 heures ;

    Tarif B : course effectuée :

    a) Dans la zone urbaine de 17 heures à 10 heures ainsi que le dimanche de 7 heures à 24 heures et les jours fériés de 0 heure à 24 heures ;

    b) Dans la zone suburbaine de 7 heures à 19 heures ;

    Tarif C : course effectuée :

    a) Dans la zone urbaine de 0 heure à 7 heures le dimanche ;

    b) Dans la zone suburbaine de 19 heures à 7 heures ainsi que le dimanche et les jours fériés ;

    c) Au-delà de la zone suburbaine.

    Le prix du kilomètre du tarif B peut excéder celui du tarif A, l’écart entre les deux ne pouvant être supérieur à 100 %. Le prix du kilomètre du tarif C peut excéder celui du tarif B, l’écart entre les deux ne pouvant être supérieur à 50 %. 

    Article 6

    La majoration des tarifs peut être répartie différemment entre les diverses composantes de la course, selon qu’il s’agit d’une course de jour ou d’une course de nuit, sous réserve que les compteurs puissent prendre en compte cette modulation. 

    Article 7

    La pratique du tarif neige-verglas est subordonnée aux deux conditions suivantes : routes effectivement enneigées ou verglacées et utilisation d’équipements spéciaux ou de pneumatiques antidérapants dits « pneus hiver ».

    Une information par voie d’affichette apposée dans les véhicules doit indiquer à la clientèle les conditions d’application et le tarif pratiqué.

    Ce tarif ne doit pas excéder le tarif d’une course de nuit, correspondant au type de course concerné. 

    Article 8

    Les tarifs des prises en charge dans les gares, ports, aéroports, des suppléments par personne adulte à partir de la quatrième personne, des suppléments animaux et bagages peuvent être majorés de 3,2 %. Pour les taxis parisiens, relevant des attributions du préfet de police, seules sont autorisées des majorations pour la prise en charge d’une quatrième personne adulte ou d’un deuxième bagage déposé dans le coffre du véhicule. 

    Article 9

    Le tarif minimum, suppléments inclus, susceptible d’être perçu pour une course est fixé à 6 euros. 

    Article 10

    La lettre W de couleur verte est apposée sur le cadran du taximètre après adaptation aux tarifs fixés par le présent arrêté. 

    Article 11

    Les arrêtés préfectoraux fixant les nouveaux tarifs des courses de taxi seront publiés dans un délai de quinze jours à compter de la date de publication du présent arrêté. 

    Article 12

    Un délai de deux mois à compter de la publication des arrêtés préfectoraux susvisés est laissé aux chauffeurs pour modifier leur compteur.

    Avant la modification du compteur, une hausse maximale de 3,2 % pourra être appliquée au montant de la course affiché, en utilisant un tableau de concordance mis à la disposition de la clientèle. 

    Article 13

    La valeur de la chute au compteur ne peut excéder 0,1 euro. 

    Article 14

    Le directeur général de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. 

    Fait à Paris, le 22 décembre 2008. 

    Pour la ministre et par délégation : 

    Le directeur général de la concurrence, 

    de la consommation 

    et de la répression des fraudes, 

    B. Parent 

  • Transport – Un demi-millier de taxis supplémentaires à Paris

    Panneau en tête de station de taxisLa Préfecture de Police de Paris distribue des licences de taxi aux candidats qui étaient sur liste d’attente. Une mesure qui est loin de faire l’unanimité.

    « Nous sommes déjà assez nombreux, et le vrai problème aujourd’hui c’est la circulation dans Paris. Les gens ne trouvent pas de taxis car ils sont tous bloqués dans les embouteillages alors ça ne sert à rien d’en rajouter », se plaint Thierry, artisan taxi indépendant. Comme beaucoup de ses collègues, n’est pas convaincu que la distribution de cent nouvelles licences par mois mise en place par la Préfecture de Police de Paris est une bonne solution. « Ça ne fait que rajouter du trafic. Moi, je travaille la nuit depuis cinq ans, comme ça au moins je suis tranquille », ajoute Thierry. Entre les véhicules toujours plus nombreux, les vélos en libre-service et les voies de bus pas forcément plus rapides, pour lui la solution est ailleurs. « Il serait plus logique de mettre en place un système de péage comme à Londres pour inciter les gens à ne pas prendre leur voiture dans Paris intra-muros mais 500 taxis en plus, ça ne change rien. »

    Une demande des clients

    Et pourtant, l’objectif de cette mesure était d’améliorer l’offre de voitures sur Paris afin de mieux répondre aux attentes des usagers. Eloïse, 25 ans, communicante, est excédée par le manque de taxis dans la capitale : « Lorsqu’on en a besoin, et que l’on est pressé, il faut vraiment être dans les rues à fortes circulations pour en trouver un disponible. Le problème se pose aussi lorsque nous appelons les sociétés, elles mettent trop de temps à nous répondre. Je pense que plus de gens prendraient les taxis s’ils étaient plus nombreux. »

    La profession de taxi est à une période charnière car beaucoup d’améliorations seront apportées dans les années qui viennent dans toutes les villes de France. L’augmentation du nombre de licences s’inscrit dans un plan beaucoup plus large présenté au mois de juin par Michèle Alliot-Marie. Ce dernier avait fait l’objet d’un protocole d’accord signé entre la ministre de l’Intérieur et les représentants de la profession. Il prévoyant par exemple la création de 5.000 taxis supplémentaires dans Paris d’ici 2012. La capitale disposerait alors de 20.000 professionnels contre 15.900 aujourd’hui. Une refonte de l’examen de capacité professionnelle de conducteur de taxi avec notamment la mise en place d’un système de formation professionnelle continue est également prévue.

    Plus concrètement, la visibilité des taxis sera améliorée avec l’apparition de véhicules bicolores, harmonisés au niveau national. Le protocole prévoit aussi la création d’une voie de circulation qui leur serait réservée entre la capitale et l’aéroport international Roissy-Charles-de-Gaulle afin de fluidifier la circulation. Cet axe est en effet souvent bouché et les taxis y sont trop nombreux, le dispositif sera testé dans les deux sens de circulation à partir du premier semestre 2009.

    Les motos, les autres taxis

    Pour contourner le problème récurent de la circulation trop dense, des sociétés de motos-taxis, alternative judicieuse aux taxis traditionnels, se développent dans Paris. Leur argument principal est la rapidité. S’adressant à une clientèle aisée, elles ont immédiatement trouvé leurs aficionados. Pour preuve, l’entreprise CityBird ne cesse de se développer depuis sa création voilà cinq ans. Et pour séduire les sceptiques, Cyril Masson avance des arguments imparables. « Avec un équipementier moto, nous avons créé une veste sur mesure pour nos clients. Elle est plus chaude, plus longue et plus étanche que d’habitude. De même tous nos sièges sont chauffants. En ce moment, nous offrons même un kit hiver avec des gants et une cagoule en soie. » Un argumentaire commercial imparable. Malgré tout, les services de taxi-moto restent relativement chers, le prix moyen de leurs trajets dépasse de loin celui des taxis traditionnels.

    Source: Romain KatchadourianFrance-soir.fr

  • 9ème édition du SALON DES TAXIS 7 & 8 FEVRIER 2009

    Dans un contexte économique tendu, la profession du taxi va devoir faire face à de nouvelles mesures en 2009. Le Salon des Taxis est le meilleur moyen pour les chauffeurs de taxi de faire le point sur l’avenir de leur profession et sur les enjeux économiques qui pèsent sur leur compte d’exploitation.
    Face à une situation peu favorable:

    – Clients des grandes villes ne trouvant pas de taxis disponibles aux heures de pointe

    – Suppression de la récupération de la TIPP
    – Variations importantes du prix du carburant
    L’autorité de tutelle, le ministère de l’Intérieur représenté par son ministre Madame Michelle ALLIOT-MARIE, a pris l’initiative de signer le 28 mai dernier un protocole avec 7 représentants de la profession qui a pour objet de :
    – Rénover les conditions d’accès à la profession de taxi (examen, formation continue)

    – Améliorer la qualité de services rendus à la clientèle (formation, équipements)
    – Augmenter le nombre de taxis disponibles (nouvel indice de création d’ADS)
    – Clarifier le champ d’application des activités des taxis et des autres acteurs du transport particulier de personnes (réglementer les motos, éradiquer les clandestins).

    Ces nouvelles mesures doivent intervenir dès 2009 et les groupes de travail sont déjà en place. Mais les chauffeurs de taxi demeurent inquiets pour la conservation de leur pouvoir d’achat d’autant que ce protocole exige l’installation d’emblée de nouveaux équipements (lumineux, taximètres et covering) d’un montant d’environ 2 000 €.
    Un programme de conférences destinées aux professionnels fera le point sur les changements apportés par le protocole et les sujets d’inquiétude :
    – Les changements structurels (La formation continue, tous les 5 ans, pour les Taxis)

    – Un examen revisité                                                                                                                       – – Un nouvel indice de création d’ADS).
    – Les changements d’équipement (lumineux, taximètre et covering)
    – Le cas spécifique de Paris (régulation ADP, voie sur A1, doublage/licences, Horaires).
    – La motorisation “propre” (offre constructeurs, offre carburants et réseaux de distribution).

    A l’instar de ce que le salon offre à la profession tous les 2 ans, cette édition 2009 sera aussi l’occasion pour le chauffeur de taxi de rencontrer tous les fournisseurs de sa vie professionnelle, des constructeurs automobiles aux services bancaires en passant par les assureurs et la technologie embarquée (liste des exposants disponible sur simple appel). Plus de 50 véhicules présentés par les constructeurs et beaucoup de soins prodigués par les exposants font de ce rendez-vous récurent une autre façon de voir la profession et, pour les taxis, la possibilité de ressentir concrètement la portée de leur destinée professionnelle. 5 000 m2 d’exposition attendent la visite de 5 000 chauffeurs de taxi venus de toute la France (65% IDF ? 35% Province).
    INFORMATIONS PRATIQUES
    Lieu : Paris -Porte de Versailles Dates : samedi 7 et dimanche 8 février 2009 Horaires : 9h30 -> 18h Salon gratuit pour les professionnels : parking, accès, conférences, garderie enfants (3-10 ans).

    Écrit par yamodo loumalet christelle

    Source: categorynet.com

  • Shopping Noël au Printemps Haussmann

    Similaire au service d’Urban Driver qui propose de faire votre shopping de Noël en Taxi moto, Smart vous accompagne pour faire votre shopping de Noël au Printemps.

    Grâce à smart, aller faire vos courses de Noël devient magie et plaisir.

    Smart

    Découvrez le confort et la praticité de la smart grâce à ce service de voiturier proposé par la marque.

    Sur simple appel, un chauffeur en smart vient vous chercher à domicile et vous ramène après votre shopping.

     Le service de navette est disponible les samedis 6, 13 et 20 décembre 2008 et les dimanche 7, 14 et 21 décembre 2008 (* dans certains magasins uniquement).

    Ce service est entièrement gratuit et disponible au Printemps Haussmann, Nation, Rouen, Lille, Lyon, Italie, Toulon, Rennes, Marseille, Metz, Nancy et Strasbourg.

    Pour réserver votre chauffeur smart, il vous suffit de prendre rendez-vous à partir du 1er décembre au 01.40.93.99.16. (réservation & conditions de l’offre par téléphone, prix d’un appel local).

    * Dimanches: le 7 décembre uniquement Rouen, les 14 et les 21 décembre Haussmann, Rouen et Lyon.

  • Shopping de Noël en Taxi moto avec Urban Driver

    Shopping devant magasin Louis VuittonPour les fêtes de fin d’année, vous rêvez d’un shopping dans Paris sans vous soucier des problèmes liés à la circulation et au stationnement. Urban Driver met à votre disposition une mototaxi pour vous conduire sur les plus belles avenues de la capitale.

    Organisez votre journée shopping au gré de vos envies (Galerie La Fayette, Printemps, Le Bon Marché, Saint Germain des prés, le Marais, les Champs-Elysées, place Vendôme…) votre moto taxi Urban Driver est à votre disposition pour vous accompagner aux adresses les plus prestigieuses de la mode parisienne selon vos besoins et vos envies 1 heure, 2 heures, 3 heures ou plus.

  • Le scooter est l’avenir du deux-roues ! (Conférence 2008 de l’ACEM)

    Lundi dernier, la 5ème conférence annuelle de l’ACEM s’est tenue à Bruxelles sur fond de crise économique. Son président, Stefan Pierer, également CEO de KTM, a témoigné de l’incertitude qui règne chez les constructeurs tout en demeurant optimiste pour l’avenir, porté par le formidable essor du marché du scooter.
    20 millions de scooters en 2016 !

    Bien que réaliste, M. Pierer ne se départit pas d’un certain optimisme. Entre 2002 et 2007, le marché du scooter a augmenté de 33%, principalement en 125 cm3. C’est évident, le scooter a le vent en poupe, et ne devrait pas changer de cap de sitôt. Son succès en Italie, en France et en Espagne notamment parvient à compenser le recul des ventes de motos, à l’échelle de l’Union, depuis le milieu de l’année 2006. A cette date, près de 30 millions de deux-roues motorisés circulaient sur les routes européennes. Même si la progression de cette flotte va faiblir, elle devrait encore croître pour atteindre 35 millions de véhicules à l’horizon 2016. Parmi eux, les scooters deviendront nettement majoritaires avec près de 20 millions et donc une progression de 46% par rapport à 2006 ! Les causes sont aujourd’hui bien connues, ce « bouleversement culturel » s’explique par l’urbanisation croissante de la zone Euro, l’incapacité des transports publics à répondre aux exigences de mobilité des citoyens et l’élargissement de l’Union Europèenne qui en fait le 3ème marché mondial. Ainsi, la crise pourrait même alimenter les ventes de deux-roues urbains en général et de scooters en particulier. Rendant les déplacements des citadins plus efficaces, ils sont surtout bien moins onéreux à l’achat qu’une automobile. Devenus plus sûr avec la généralisation des ABS ou la multiplication des trois roues inclinables dans le sillage du Piaggio MP3, ils se posent alors chaque jour davantage en alternative à la petite voiture citadine. En France, Piaggio annonce avoir vendu pas moins de 265 MP3 LT250 et 555 MP3 LT 400 sur le seul mois de novembre 2008.

    Par Charles Gaurier – Source: moto-station.com