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  • Week-end en amoureux à 2 heures de Paris

    Week-end en amoureux à 2 heures de Paris

     

    Vous aimez le journal de 13H de Jean-Pierre Pernod et la découverte de nos régions, je vous livre une idée de week-end en amoureux à moins de 2 heures de Paris. Vous connaissez bien évidemment Deauville-Trouville, le lieu que je vous propose est également en Normandie mais beaucoup plus calme et offrant un dépaysement total, un de ces lieux tellement agréable que vous avez envi de la garder pour vous pour préserver toute sa quiétude et tranquillité : le parc naturel régional du Perche à cheval sur l’Orne et l’Eure-et-Loir.

    Découvert via l’émission présentée par Stéphane Thebaut, La Maison France 5, qui a réalisée deux émissions dans le Perche et donnée un bel aperçu de la beauté de cette région ; entre forêts, collines et campagne, ses beaux petits villages, ses moulins et manoirs comme le Manoir de Courboyer à découvrir tout au long de ses routes tranquilles, le pays du Perche au cœur de la vallée de l’Huisme plaira aux amateurs de déco et brocs avec de nombreuses boutiques de décoration et magasins d’antiquités.

    Accessible facilement par la route via la nationale 12 ou par l’autoroute A10-A11, situé à environ 150 km de Paris, Le Perche est une région magnifique ou règne la nature et le calme dans un environnement préservé, à moins de 2 heures de Paris.

    C’est une parenthèse du stress de la vie parisienne qui vous fait déconnecter en 24 heures. Partis de la région parisienne le Samedi matin, nous arrivons dans le Perche à 12h30 ou l’on se rend directement dans notre hôtel réservé 2 jours plus tôt, Coté Parc à Rémalard ; cet hôtel est très agréable en plein centre de la place du village, avec des grandes chambres joliment décorées et un accueil agréable. L’emplacement est idéal au centre du parc régional du Perche, à 15/20 minutes de Bellême.  Il y a de nombreuses chambres d’hôtes et gites aperçus une fois sur place qui semblent également très accueillant et typique.

    Hotel Coté Parc à Rémalard

     

    Etant arrivés à l’heure du déjeuner sous un grand soleil, la propriétaire de l’hôtel nous indique un restaurant avec terrasse à moins de 2 km de Rémalard, très agréable et qui vous met de suite dans l’ambiance du Perche, calme et zenitude, le bistrot des Ecuries.

    Après un déjeuner très agréable, et une rencontre qui nous oriente et conseille sur les sites à découvrir et les bonnes adresses, nous partons pour une petite balade au frais dans la forêt de Bellême suivi d’une visite de la ville de Bellême et de ses différents brocanteurs. Je vous invite lors des déplacements sur les agréables routes du Perche à sortir des axes principaux et à vous embarquer sur les petites routes au gré de vos envies pour découvrir les petites communes du parc du Perche telle Verrières ou mon coup de cœur, Corubert.

    Le soir, sur les conseils de l’hôtel, nous avions réservé une table à l’Auberge des 3J à Nocé, ancien étoilé avec un rapport plaisir gustatif/prix excellent (Menu à 40€), un restaurant comme je les aime en province ou on mange bien, des produits du terroir et ou a le sentiment d’en avoir pour son argent.

    Le Dimanche matin, jogging depuis Rémalat sur la voie verte longue de 67 km, une ancienne voie ferrée qui reliait jadis la ville d’Alençon à Condé-sur-Huisne, réservée aux ballades en VTT, à cheval, aux sportifs, randonneurs et piétons.

     

    Puis départ sur les conseils de notre belle rencontre de la veille, pour un déjeuner à La Maison d’Horbe, une ancienne boucherie du village de Pervenchères, transformée année après année en un de ces petits lieux magiques ou l’on se dit une fois qu’on y est être privilégié, cuisine ouverte au milieu du restaurant et décoration travaillée ou rien n’est laissé au hasard.

    Restaurant La Maison d’Horbe


    Nous repartons à 17h00 de Pervenchères après avoir parcouru ses petites ruelles et admirer les maisons en pierre pour un retour en région parisienne à 19h00 revigoré et la tête pleine de beaux souvenirs.

  • BLOCAGE POUR OBTENIR LA CARTE PROFESSIONNELLE DE TAXI MOTO

    BLOCAGE POUR OBTENIR LA CARTE PROFESSIONNELLE DE TAXI MOTO

    Nous recevons chez UrbanDriver, plusieurs chauffeurs souhaitant devenir taxi moto et rencontrant actuellement de grandes difficultés dans leurs démarches administratives.

    En effet devenir taxi moto ne s’improvise pas, la réglementation du transport de personnes par véhicule motorisé à 2 ou 3 roues impose différentes obligations :

    • Obtenir une carte professionnelle délivrée par la préfecture de son département,
    • Passer une visite médicale chez un médecin agréé par la préfecture,
    • Posséder une moto de moins de 4 ans, justifier d’une attestation annuelle d’entretien et disposer sur son véhicule d’une signalétique spécifique.

    Toutes les difficultés viennent de l’obtention de la carte professionnelle. Il suffit pour cela de remplir le formulaire moto taxi 2015 disponible sur le site de votre préfecture (Section Démarches administratives / Professions réglementées / carte professionnelles et attestations / Chauffeur de véhicule motorisé à deux ou trois roues) et de justifier d’un certificat de capacité professionnelle (Article L3123-1 du code du Transport).

    Pour les nouveaux entrants ou personnes n’ayant pas eu d’expériences dans le transport de personnes (VTC, taxi, ambulancier…), ce certificat de capacité professionnelle s’obtient par la réussite d’un examen MAIS AUCUNE FORMATION OU EXAMEN DE MOTO TAXI N’EXISTE A CE JOUR.

    D’après le décrêt N°2014-1725 du 30 Décembre 2014 relatif au transport public particulier de personnes entré en vigueur le 31 Décembre 2014, les nouvelles obligations en matière de formation seront connues au plus tard le 1Er Janvier 2016.

     

    En gros la délivrance de cartes Pros sont gelées jusqu’à cette date. D’après nos informations, les dernières cartes professionnelles délivrées ont eu lieu en Mai 2015 et depuis plus rien. Quant à la future formation, on entend parler d’une formation d’une semaine qui espérons auront lieu une fois par mois.

     

    D’ici là, vous n’avez d’autres choix que de prendre votre mal en patience et de pester contre ces politiques qui pondent des arrêtés sans réfléchir aux conséquences. Et le conseil que je puisse vous communiquer, attendez bien d’obtenir votre précieux sésame, votre carte professionnelle avant de commander votre moto et d’engager des frais pour le lancement de votre activité de chauffeur moto taxi.

  • Urban Driver est candidate aux Lauriers 2015 du Voyage d’Affaires

    Urban Driver est candidate aux Lauriers 2015 du Voyage d’Affaires

    Urban Driver participe aux Lauriers du Voyage d’Affaires dans la catégorie « Services compris » aux voyageurs d’affaires qui récompense le meilleur service offert aux voyageurs d’affairesDans cette catégorie concourent entre autres ADP, Air France, Havas Voyages, Hilton et Urban Driver.

    Si nous suivons au quotidien l’avis de nos clients sur nos prestations de transport via notre partenaire Avis vérifiés, avec des résultats très satisfaisants, (une note moyenne de 9.5/10), la participation d’Urban Driver aux Lauriers du Voyage d’affaires renforce notre savoir-faire en tant que prestataire de transport auprès des entreprises. C’est l’occasion pour nos clients BtoB, grands voyageurs et prescripteurs de donner leurs avis sur les meilleurs prestataires du marché.

    Vous pouvez vous aussi voter jusqu’au 18 Septembre 2015 en cliquant ICI. La remise des prix aura lieu le 30 Septembre 2015 au Salon IFM Top Resa à Paris (Porte de Versailles).

  • Grève des taxis: le malheur des uns fait le bonheur des autres

    En région parisienne, le blocage du périphérique dès 6h00 du matin par les taxis en grève pour protester contre l’application Uberpop (mettant en relation chauffeur particulier et client) occasionne de nombreux  bouchons et du stress pour tous les parisiens devant se rendre au travail.

    Les blocages des aéroports ensuite, notamment Orly et Roissy touchent cette fois l’ensemble des provinciaux se rendant en déplacement d’affaires à Paris et les touristes qui pour certains repartiront avec un souvenir amer de la capitale et des français.

    Si quelques rares personnes indiquaient être étonnées de la densité de personne dans les transports en commun, tous les parisiens étaient au courant du mouvement de grève des taxis et avait pris leur disposition. Si les transports en commun restent la meilleure option pour se déplacer un tel jour de grève, le taxi moto reste une des alternatives les plus efficaces pour circuler dans la capitale embouteillée. Urban Driver Taxi Moto a enregistré un volume d’activité 3 à 4 fois supérieur à la normale et n’a sur certain créneau horaires même pas pu absorber toute la demande sur son réseau de chauffeurs affiliés.

    Les syndicats de taxi reçus en fin de journée à Matignon s’attendaient à une fermeture pure et simple de l’application UberPOP; malheureusement pour eux, les enjeux sont tout autres. L’époque d’un marché fermé (numerus clausus) sur lequel ont joué les taxis pour protéger leur gros gateau et faire grimper le prix des licences (Yann Ricordel, dirigeant de taxi Bleu indiquait un prix de license à Paris autour de 190 000€ contre 240 000€ il y a encore six mois) et ainsi s’assurer une belle retraite est belle et bien terminée et ce n’est pas nos politiques qui pourront arrêter l’innovation en France et dans le monde.

    Il  n’y a pas d’autre issue pour les taxis que de se retrousser les manches et d’innover dans leur métier pour séduire de nouveaux les clients et avoir une approche commerciale et sociale pour les fidéliser. Dans le cas contraire, VTC et applications du type UberPOP continueront à leur prendre des parts de marchés.

  • Faut-il encore acheter un véhicule personnel à Paris ?

    Lorsque l’on habite à Paris, être propriétaire d’un véhicule mérite une vraie réflexion. Entre la multiplication des alternatives existantes et le coût induit par le budget d’une voiture personnelle, il faudra savoir se poser les bonnes questions. D’autant que les nouvelles offres de transport qui voient le jour ne manquent pas d’intérêt.
    Alors, que choisir ?

    Do the right mix, vélo, voiture, bus?

    Les transports en commun au quotidien

    Le réseau de transport en commun de la région parisienne est constitué du métro, du tramway, d’autobus et du RER. Avec plus de 8 millions de déplacements assurés tous les jours, ce mode de transport est parfaitement organisé et efficace à Paris, avec des départs très fréquents. De plus, en utilisant notamment les cartes adaptées, le recours à ces opérateurs est économique. Le taxi aussi constitue une option intéressante, selon le type de déplacement souhaité, avec une plus grande sécurité et un confort important, mais un prix également plus élevé.

    De nouvelles alternatives

    Il existe de nouvelles solutions pour se déplacer à Paris, sans avoir besoin d’utiliser les transports en commun tout en ayant un plus grand confort et sans devoir être propriétaire de son véhicule.
    Le co-voiturage se développe est constitue une possibilité attractive. Des plate-formes comme blabla car ou carpooling permettent ainsi de trouver facilement des personnes effectuant un trajet similaire au sien, et ainsi à se réunir dans un même véhicule pour l’effectuer, le tout à un coût très réduit.
    En concurrence avec les taxis, les VTC (Voitures de Tourisme avec Chauffeur) tels Chauffeur Privé ou Urban Driver se développent, en offrant des services adaptés. La commande du trajet se fait via une application smartphone et/ou un site Internet, où vous connaissez par avance le coût de la course. Les conditions de transport sont souvent très bonnes, et la solution est notamment intéressante en choisissant les motos ou scooters pour éviter les embouteillages, par exemple pour aller ou revenir des aéroports ou des gares.
    Enfin, afin d’amortir le coût annuel de leur véhicule, certains n’hésitent pas à recourir à des sites mettant en relation des particuliers pour la location de leur véhicule. Drivy vous permet ainsi de louer un véhicule, ou un utilitaire, directement auprès d’un autre particulier.

    Le budget annuel d’un véhicule

    Posséder son propre véhicule permet de ne dépendre de personne ou d’éviter les contraintes des grèves. Mais le coût de ce confort est plutôt élevé. En effet, outre le prix du véhicule, de son assurance, de son entretien, à Paris, il faut prendre en considération le stationnement de celui-ci. Ainsi, en France, le budget moyen pour un véhicule s’élève à 5702 euros. Un coût qui ne prend pas forcément en compte les dépassements liés au parking ou à la location d’un garage.

    Au vu du coût d’un véhicule à Paris, et devant la multitude d’alternatives à disposition, il apparaît qu’avoir un véhicule n’est pas forcément la solution la plus économique.

  • Soutenir le développement des VTC

    Après une première annonce réduisant à 15 minutes le délai minimum pour monter dans un VTC uniquement aux nouveaux clients/utilisateurs du service, le gouvernement a fait subitement machine arrière et imposerait ce délai de 15 minutes à tout le monde et annonce en parallèle la délivrance de 1000 licences de taxis supplémentaire.

     

    A la lecture de cette première annonce, cette mesure semblait plutôt honnête et permettait de clairement indiquer aux VTC l’interdiction de prendre en charge des clients sans réservation préalable, phénomène qui se produit notamment aux abords des gares et aéroports et plus communément appelé dans le milieu, la « pêche ». Cette pratique arrive notamment lorsque les chauffeurs emmènent des clients à l’aéroport et une fois sur place, certains préfèrent aller proposer leur service directement aux clients dans l’enceinte de l’aéroport pour éviter d’effectuer le trajet retour à vide.

    Cette pratique est bien sût totalement interdite aux VTC et réservés aux taxis parisiens et taxis de banlieue qui paient une License pour pouvoir prendre des clients dans la rue et dans les stations de taxis. Avec cette première annonce, les pouvoirs publics et notamment, les boers (la police des taxis) pouvait simplement faire appliquer la loi et réprimander facilement les VTC qui se risquerait à racoler la clientèle des taxis.

     

    24 heures plus tard, le gouvernement annonce en fait qu’il s’agissait simplement là de piste de réflexion et que ce délai de 15 minutes serait en fait appliquer à tous les clients des VTC.

    Quand on sait que 75% des voitures commandées via les centrales de réservation de VTC prennent en charge les clients en moins de 10 minutes, à quoi rime cette nouvelle réglementation si ce n’est à protéger le gros gateau des taxis et à donner un peu de temps au leader du secteur du taxi que sont G7 et taxis bleus pour mettre leur système d’information au niveau de ces nouvelles start-ups ?

    Ce délai de 15 minutes ne vise qu’à freiner le développement de ces sociétés de VTC notamment auprès de la clientèle d’affaires qui voyait dans ce nouveau service une alternative très intéressante au quasi-monopole des centrales de réservation de taxi.

     

    Dommage encore une fois que le gouvernement ne sache prendre des positions visant à faire avancer la France et à permettre le développement d’un nouveau service de transport sans encombre, qui plus est avec un fort potentiel de création d’emplois.

     

    Pour toutes ces raisons, je soutiens les vtc que sont Le Cab, chauffeur Privé et Snapcar pour signer la pétition visant à supprimer ce délai de 15 minutes minimum entre la réservation et la prise en charge d’un client et vous invite à consulter le site web relayant les parodies liées à ce délai de 15 minutes sur Twitter (www.pournepasfaireconcurrence.com).

     

  • Nouvelle bataille des taxis pour protéger leur gros gâteau

    Si le service de taxi moto a longtemps été le chat noir des chauffeurs et syndicats de taxi qu’ils accusent de concurrence déloyale, ces derniers n’avaient apparemment pas vu venir avec  la loi du 22 Juillet 2009 le potentiel de développement des Voitures de Tourisme avec chauffeurs (VTC), plus communément appelé chauffeur privé.

    VTC ouverture de porte pour le passager

    Le taxi moto et les VTC sont pourtant bien des alternatives complémentaires aux taxis pour le client.

    Le taxi moto utilisé majoritairement par les cadres et dirigeants d’entreprises permet de garantir un temps de trajet connu à l’avance à toute heure de la journée. En contre partie, il faut voyager léger, passer l’appréhension du deux roues, être seul, etc.

    Le VTC, très développé dans les grandes villes comme NY et Londres avec plus de chauffeurs privés que de taxi classique permet toujours à l’avantage du client d’avoir une offre complémentaire avec un tarif fixe, pas de frais d’approche, un service haut de gamme avec des voitures Berlines type Mercedes Classe E, un chauffeur qui vous ouvre la porte et des petits bonus toujours appréciables: chargeur de téléphone, choix de la musique, bouteille d’eau etc.

    Quant les taxis s’en prenaient aux taxis motos, on a toujours pensé chez Urban Driver qu’il n’avait jamais étudié en profondeur ce service puisque ce marché est une niche représentant environ 20 millions d’euros par an sur Paris soit une broutille par rapport au marché du taxi. (voir Etude ICI). C’est surement pour cette raison d’ailleurs que les centrales de taxi type G7 et autres ne cherchent pas à se positionner sur ce marché qui risquerait de créer des conflits avec leurs affiliés et qui est un marché trop petit.

    Pour le VTC, il en est tout autrement car  le marché est beaucoup plus important. On dénombre actuellement à Paris entre 1000 et 2000 VTC vs 17 000 taxis et le marché n’en est qu’à ses balbutiements. A titre de comparaison on dénombre à Londres environ 50 000 minicabs pour 22 000 taxis et à New-York 40 000 chauffeurs privées pour 15 000 taxis. Donc oui le marché est potentiellement énorme et là, les taxis ont un peu plus de souci à se faire qu’avec les motos taxis.

    Le lobbying des taxis ne souhaite pas partager son gros gâteau en argumentant notamment que la license est aujourd’hui évalué à environ 250 000€ sur Paris et tente donc de freiner ce développement en imposant par décret ou arrêté une mesure pour obligé un délai minimum de 15 voire 30 minutes aux chauffeurs privés pour prendre en charge leur clients ; Ce alors que toutes les sociétés actuellement en place, Chauffeur privé, Uber, Snapcar, Club Chauffeur, Lecab proposent des applications sur smartphones permettant de commander un chauffeur privé en temps réel avec des temps d’approche régulièrement inférieur à 10 minutes.

    Nicolas Rousselet, président de l’Union nationale des industries du taxi indiquait recemment dans Les Echos:  » Sans délai, grâce aux smartphones, les réservations des VTC équivaudraient à des commandes immédiates. Cela constituerait un contournement de la loi de 2009 (qui prévoit que le transport en VTC ne peut se faire que sur réservation préalable), seuls les taxis étant autorisés à attendre la clientèle sur la voie publique.et mettrait en péril la profession de taxi très réglementée ».

    Il est également question de limiter le service de VTC aux seuls touristes et non à la clientèle d’affaires et aux noctambules. Jean-Michel Rebours, président de l’Union de défense des taxis parisiens (UDTP) et trésorier adjoint de la Fédération nationale des artisans du taxi (Fnat) déclarait récemment dans Liberation « Les VTC dépendent du ministère du Tourisme, ils devraient donc uniquement faire du transport de touristes. »

    Toutes ces nouvelles start-up attendent impatiemment la réponse du gouvernement qui  devra se positionner entre immobilisme et défense des intérêts des taxis ou ouverture de ce marché plein d’avenir qui devrait créer de nombreux emplois et apporter aux consommateurs une nouvelle alternative au transport urbain.

  • A tous les passionnés d’automobiles, Porsche Cup et Porsche Driving School

    A tous les passionnés d’automobiles, Porsche Cup et Porsche Driving School

    Week-end riche en émotion avec une invitation de dernière minute pour la première manche de la Porsche Carrera Cup ou mon ami Andrea Barlesi pilote au volant d’une porsche de Nourry Competition.

     

    Porsche de Nourry competition sur la ligne de départ

    Dimanche matin, 08h00, direction Le circuit du Mans avec un
    ami, et nouvelle surprise, nous prenons  la route à bord d’une magnifique Lotus Exige S. Arrivé au Mans, le soleil est au RDV, nous disposons d’un accès dans les stands, ou Andréa nous fait découvrir sa voiture, et sur la grille de départ, toujours un moment magique pour tous passionnés d’automobiles.

    Comme l’indique Andrea sur son compte Twitter qui vous
    permet de suivre toute son actu en temps réel, « Lived the worst race week-end ever. It was a big nightmare Crash In Race 2« , week-end a oublié avec une 8° place dans la première manche et un abandon dans la deuxième course. Certes le résultat n’est pas au rendez-vous mais ce n’est que le début du championnat, encore 10 courses sur la saison 2013.

    Porsche Nourri competition dans les stands

    Après ces moments forts en émotion, une dernière bonne surprise avec un rendez-vous à la Porsche
    Driving School
    sur le circuit de la maison blanche pour un essai d’une Porsche.
    Au choix, 991, Cayman ou Boxter. J’opte pour le nouveau Cayman que je trouve
    magnifique. 3 tours de circuit avec les conseils d’une charmante instructrice, Marlene Brogggi, qui pilote sur Mac Laren dans le championnat Blancpain Endurance Series.

    Voilà un bon moment qui permet de déconnecter du quotidien et de reprendre le boulot plein d’entrain.

  • Le concept Toyota i-road

    Le concept Toyota i-road

    On a déjà vu plusieurs concepts car de petit véhicule urbain électrique. Toyota vient de présenter au Salon de Genève le i-road, un mix entre une voiture et une moto : 3 roues, un habitacle et un système d’inclinaison du véhicule qui se fait par le biais d’un mouvement vertical des roues.

    La question à chaque fois que je vois ce genre de prototype, à quand un projet qui puisse être utilisé pour le transport de personnes avec les avantages de la moto, à savoir la capacité à se faufiler dans une circulation dense.

    Malheureusement, on n’y est pas encore, l’i-road a une autonomie de 50 km à 30 km/h !!! Les clients risquent de ne pas apprécier mais les dimensions sont là : une largeur réduite à 85 cm soit 10 cm de moins qu’une Honda Goldwing 1800.

  • Un taxi avec 2 ailes?

    Peut-être le taxi de demain mais ni à 4 roues, ni à 2 roues, avec 2 ailes.

    Des chercheurs européens travaillent depuis 3 ans sur le projet PPlane avec pour objectif de voyager plus vite et à moindre coût. Oui mais comment? Pas de problème d’embouteillage  le concept est un avion personnel en libre-service sans pilote.
    Le système est complètement automatisé sur le modèle de certaines lignes de métro telle la ligne 14 à Paris avec un décollage à partir d’une rampe de lancement magnétique de 200 mètres de long et un atterrissage sur une sorte de wagonnet.

    L’avion pourrait accueillir 4 voyageurs pour des transferts d’environ 500km à un tarif proche des billets de TGV. Les réservations pourraient s’effectuer par téléphone ou via internet, les passagers se rendraient directement dans l’aérodrome -baptisé PPort-le plus proche (l’ONERA en prévoit 2000 en Europe).

    Si techniquement, le projet pourrait être opérationnel dès 2030, un des freins pourrait être, selon certaines études, la réticence des utilisateurs à prendre un avion sans pilote. Pour ma part, ce ne serait pas un obstacle de voyager à bord d’un avion entièrement automatisé, nous utilisons bien déjà depuis quelques années le métro et les télécabines sans « pilote »; et j’irai même plus loin, je suis tout à fait disposer à tester les premiers vols en Pplane.

    Par contre quant on voit le mal que le moto taxi a déjà eu à s’imposer en France face au lobby des taxis,  le lobby des compagnies aériennes et de train me semblent être une menace plus importante au lancement de ce beau projet.