Catégorie : Moto Taxi

  • Les Taxis Bleus transformés en bureaux connectés au Web

    Associée à SFR et vYSoo, la compagnie de taxis teste un dispositif de Wi-Fi embarquée pour les passagers. Les embouteillages paraîtront moins long.

    Un jour, des hommes d’affaires, clients d’une grande chaîne d’hôtels, se seraient plaints auprès de la direction du groupe : « Vos ascenseurs sont trop lents ! ». Devant l’impossibilité d’accélérer le débit des machines, les responsables de l’entreprise ont trouvé une parade : ils ont installé des miroirs dans les cabines. Depuis, les cadres se regardent la glace et ne voient plus passer le temps !

    Même problématique dans les taxis : certains usagers profitent des trajets pour se détendre ou se concentrer avant leur rendez-vous suivant ; mais d’autres, stressés, ont l’impression de perdre leur temps entre l’aéroport ou la gare et leur destination. Les compagnies de taxis réfléchissent donc à différents moyens de les occuper.

    Fin 2007, les Taxis G7 ont ainsi équipés une partie de leur flotte avec des récepteurs TNT destinés aux passagers. Les Taxis Bleus creusent une autre idée dans le sens du travail : une dizaine de taxis d’Ile-de-France, affiliés chez Taxis Bleus, proposent à leurs clients un PC connecté à une borne Wi-Fi embarquée, à partir de laquelle ils peuvent surfer sur Internet.

    « Pour certains de nos clients, le taxi doit devenir une sorte de bureau élargi, explique Jean-Pierre Daverio, directeur général des Taxis Bleus. La notion de mobilité et celle de connectivité permanente deviennent alors essentielles pour eux. »

    Techniquement, la connexion à Internet est réalisée via une clé 3G de SFR, tandis qu’un routeur Mobile 3G-WiFi MR600 de vYSoo distribue le Wi-Fi dans la voiture. « La qualité de la connexion à Internet dépend donc de la couverture GSM, résume Marc Delort, responsable commercial de vYSoo. En région parisienne, cela marche partout, sauf dans les tunnels, bien sûr. »

    D’où sort vYSoo ? Cette filiale du groupe Compal (un ODM taïwanais qui  fabrique notamment les ordinateurs de HP, Dell, Lenovo, ou les téléphones mobiles de Motorola et de Sony Ericsson) est spécialisée dans le Wi-Fi mobile.

    La connexion peut être partagée avec plusieurs passagers

    Dans les taxis équipés, il est possible d’utiliser n’importe quel appareil doté d’une connexion Wi-Fi pour surfer sur Internet : il suffit de s’identifier sur la page d’accueil du hotspot en fournissant (pour l’instant) une adresse e-mail.

    La connexion peut-être partagée avec d’autres passagers du taxi. Mais toutes les voitures qui participent à l’expérience mettent à la disposition des clients un UMPC eeePC d’Asus. Dans le cadre du test, les types de connexions et de travaux réalisés sur cet UMPC sont enregistrés à des fins d’analyse.

    Pour l’instant, ce service est proposé gratuitement. « Mais d’ici à six semaines environ, ce sera payant, précise Jean-Pierre Daverio. La session sera vraisemblablement facturée un à quatre euros. Le paiement se fera sans doute soit dans le cadre d’un abonnement, soit au moment de la commande de son taxi, soit à bord. »

    Plusieurs centaines de « taxis Wi-Fi » à terme

    L’expérimentation (dont le coût n’a pas été révélé) est financée par Taxis Bleus et vYSoo. Si ses résultats sont positifs, les 3000 artisans taxis et locataires abonnés à la centrale de réservation Taxis Bleus se verront proposer la possibilité d’équiper leurs véhicules d’un tel équipement.

    « Plusieurs scénarios sont possibles, mais je pense que plusieurs centaines de taxis devraient être intéressées », estime Jean-Pierre Daverio. Coût ? « Moins d’un euro par jour, si l’on amortit l’opération sur 24 mois », assure Marc Delort. Soit moins de 730 euros.

    Les taxis abonnés à Taxis Bleus et participant à l’expérience sont signalés par un discret logo sur le véhicule. A Lyon, des taxis indépendants proposeraient également ce service.

    Rien à voir avec l’énorme clé 3G qu’abhorrent sur leur toit les taxis hongkongais, déjà équipés d’un routeur Wi-Fi mobile. A Taïwan, le système serait également déployé.

    Source: www.vnunet.fr

  • Shop à bord propose un service de moto taxi aux plaisanciers

    Le site Internet shopabord.com n’est pas un annuaire, son concept est unique au monde. C’est le seul site qui regroupe autant de boutiques en ligne exclusivement dédié au service des plaisanciers. On peut y commander en ligne, le paiement est sécurisé et on sera livré à bord.

    […] Pour les escales, on trouvera en plus des solutions pour louer une voiture ou un vélo.
    Si l’on vient naviguer en utilisant les transports publics train ou avion, on trouvera sur certains port un taxi, ou une voiture avec chauffeur que l’on peut réserver. Dans d’autre port on trouvera un service de moto taxi pour éviter les embouteillage et se retrouver rapidement à son bord. […]

    [Lire l’intégralité de l’article sur le site Nautisme Info]

  • Taxi moto à Strasbourg

    Comme on a pu le voir ICI et LA, les motos-taxi sont en pleine expansion dans l’agglomération parisienne avec notamment la société Urban Driver.

    Après Scoot’m Liberté à Angers, c’est au tour de Strasbourg de se voir offrir ce nouveau moyen de déplacement en milieu Urbain avec Vincent Braun.

    Sobre, confortable et bien équipée pour transporter des bagages -jusqu’à 30 kg, mais mieux vaut éviter la garde-robe complète, trop volumineuse -, la Honda 700 Deauville de Vincent Braun séduira les citadins pressés de rejoindre les gares et aéroports ou désireux de circuler en ville et dans la CUS en échappant aux embouteillages. Eviter les aléas de la circulation  « La moto permet d’être plus mobile et d’éviter les aléas de la circulation, explique le créateur de Moto Strasbourg. Avec elle, … [Lire la suite sur le site DNA.fr].
  • Liaison avec Roissy… au menu du Conseil de Paris

    Le Conseil de Paris se réunit lundi 20 et mardi 21 octobre. La modification du Plan local d’urbanisme et les principales orientations budgétaires seront notamment présentées aux élus […].

    De la gare de l’Est à l’aéroport Charles-de-Gaulle

    Une liaison ferroviaire directe entre Roissy et la gare de l’Est : c’est le pari de CDG (Charles-de-Gaulle) express, la future ligne reliant Paris au plus grand aéroport français. Comme Londres, Oslo ou Hong Kong, la capitale française disposera alors d’un atout supplémentaire pour ses transports. Car la route est actuellement plébiscitée par les voyageurs de Roissy : 80% d’entre eux l’empruntent, en passant par les autoroutes A1 et A3, deux des voies les plus encombrées d’Europe.

    Le sujet est soumis à une délibération du Conseil de Paris le 20 octobre. Soutenant le projet CDG express, la Ville de Paris demande l’enfouissement de la ligne ferroviaire sous la porte de la Chapelle, des garanties pour un meilleur fonctionnement du RER B (qui relie l’aéroport au départ de la gare du Nord) et l’aménagement d’une liaison piétonne entre les gares du Nord et de l’Est […].

    Source: http://www.paris.fr/portail/accueil/Portal.lut?page_id=8581&document_type_id=2&document_id=60893&portlet_id=20214

  • Boers, la police des taxis

    La ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, annonçait [il y a quelques semaines] « l’augmentation des effectifs des Boers » * , la police des taxis, et l’élargissement de leur « rayon d’action »[…].

    Record d’interpellations. Le champ d’action de ces policiers spécialisés est large puisqu’ils doivent contrôler l’ensemble des 40 000 véhicules de transport de personnes de la capitale : limousines, moto-taxis, cars… Mais la traque des taxis clandestins, parmi les 15 900 professionnels de la capitale, est leur plus importante mission. En 2005, ils avaient arrêté 43 faux taxis. Ce nombre n’a cessé de progresser : 63 en 2006 et 73 en 2007.
    Depuis le début de l’année, ils en ont interpellé 89 (+ 57 %). Un record absolu !

    Effectifs multipliés par quatre. Pour venir à bout des 200 à 250 taxis clandestins qui circulent dans Paris, selon la préfecture de police (1 000 selon des professionnels), les 18 Boers actuels seront dès mercredi renforcés par 15 policiers. Et, dès octobre, une nouvelle vague de 15 hommes déferlera sur la capitale. « Dès que possible, nous serons 70 », indique Pierre Pipperis, le responsable.

    Compétence élargie. Jusqu’ici compétents uniquement dans Paris intra-muros, les Boers pourront prochainement intervenir dans les 86 communes de la petite couronne ainsi que dans les aéroports de Roissy et d’Orly. Une brigade de nuit va aussi être créée : c’est à l’heure de la fin du métro que les chauffeurs clandestins sortent de l’ombre. Et pour cause : jusqu’à présent, les Boers n’opéraient qu’exceptionnellement la nuit tombée.

    *Boers : c’est ainsi que les Russes blancs émigrés à Paris désignaient les policiers. Il s’agit en fait d’une déformation du mot « bourre », un terme d’argot du début du XX e siècle, synonyme de « flic ».

    Source: Le parisien

  • Motocab: Mr Hervé rappelle les prévisions du groupe pour les prochains exercices

    Suite à l’introduction en bourse de la société Motocab dont j’ai parlé ICI et , Philippe Hervé,  PDG de motocab et DG d’Assya Capital, rappelle les prévisions du groupe pour les prochains exercices: "Nous visons un chiffre d’affaires de 1,8 ME et nous afficherons sans doute une perte nette de 1,2 ME, liée aux investissements et aux développements. En 2009, nous comptons atteindre 13 ME de CA avec un résultat à l’équilibre. En 2010, nous visons 27 ME de CA pour un résultat de 2,3 ME."

    Le dirigeant ajoute: "Les investissements nous permettent d’agrandir le parc de motos mais aussi de structurer la société, à la fois sur le plan informatique, ainsi qu’au niveau des outils de géolocalisation des motos. Lorsque nous avons repris la société, elle n’était pas du tout organisée en terme de procédure.

    Pour  voir l’interview dans son intégralité, cliquez ICI.

  • Les motos-taxis devraient être réglementés prochainement

    Moto_taxi_08 Ils sont plusieurs centaines à circuler dans la capitale et les grandes villes de province, et ce sans aucun contrôle spécifique. Selon nos informations, le ministère de l’Intérieur s’apprête à mieux encadrer l’activité des moto-taxis.

    SUR DES CHAPEAUX de roue. C’est dès la rentrée que le ministère de l’Intérieur a prévu, selon nos informations, de s’atteler à la réglementation des motos-taxis. Il y a urgence. Car le secteur, en pleine croissance, souffre d’un sérieux vide juridique.

    Une activité qui explose.
    Apparus pour certains il y a plus de vingt ans dans la capitale, les motos-taxis ont mis deux décennies à s’installer dans le paysage.

    Aujourd’hui, ils seraient entre 150 et 300 à Paris, les autorités avouant ne disposer d’aucun chiffre officiel. La plupart sont des indépendants, seules quelques entreprises se détachant du lot. Patron d’un des leaders du secteur, Philippe Hervé est très optimiste. Sa société, MotoCab, est entrée en Bourse le 30 juillet. Une introduction certes faite sur le marché libre, réservé aux toutes petites structures. Mais c’est un début. D’autant que, parmi les actionnaires, figure un de ses fidèles clients : le chanteur et comédien Patrick Bruel. MotoCab s’attend à voir son chiffre d’affaires multiplié par sept d’ici l’an prochain pour atteindre 13 millions d’euros en 2009 et 27 millions en 2010.

    Une réponse à un réel besoin. Ce succès, que partagent des entreprises comme City Bird ou Skoot, tient à une demande en plein boom. Tout d’abord parce que la capitale manque de taxis. « Le nombre de taxis à Paris n’a pas évolué depuis quinze ans. Ils sont quinze mille », soulignait au printemps Michèle Alliot-Marie dans nos colonnes (nos éditions du 28 mai). Mais aussi et surtout parce que, pour les clients, le deux-roues est synonyme de sérieux gains de temps.

    Une réglementation spécifique. En matière de moto-taxi, « nous sommes face à un vide juridique », soulignait sans ambages le préfet Pierre Chassigneux, dans son rapport sur les taxis, remis au printemps au gouvernement. Et pour cause : alors que les taxis « à quatre roues » possèdent une licence et sont scrupuleusement contrôlés par les pouvoirs publics, rien de tel aujourd’hui pour les deux-roues. Ces derniers ne font en effet l’objet d’aucun contrôle particulier, tant d’un point de vue technique qu’au niveau de l’assurance. Et c’est avant tout à cela que le gouvernement entend répondre. Selon nos informations, le ministère de l’Intérieur se penchera donc sur deux points prioritaires à la rentrée : l’assurance, l’objectif étant de vérifier que chaque pilote est en règle ; et s’assurer de la solidité et du sérieux de l’ensemble des entreprises du secteur et des pilotes qu’elles emploient. Cela devrait passer par une autorisation préfectorale de l’activité, aujourd’hui inexistante. Des contraintes que les professionnels eux-mêmes appellent de leurs voeux. « Nous réclamons une réglementation qui permettrait de s’assurer du sérieux de l’ensemble des acteurs du secteur », confirme Philippe Hervé.

    Source: Le Parisien – Olivier Aubry

  • Question conso: motos ou taxis? JT de 20H sur FR2

    Fr2_20h Après le reportage sur les Taxis-moto au 20 heures de TF1 (ICI), c’est au tour de France 2 dans l’edition du 2 Aout à 20h dans sa rubrique "Question conso" de faire un comparatif entre les taxis classiques et les taxis moto en terme de temps et de prix.

    Trajet Paris – Aéroport Roissy CDG

    Taxi moto – 35 minutes – 75 € / Taxi – 55 miniutes – 54 €

    Trajet Paris – Aéroport de Orly

    taxi moto – 30 minutes – 55 € / Taxi – 45 minutes – 35 €.

    Pour voir le reportage en vidéo, cliquez ICI (Edition du 02 Aout 2008).

  • Des moto-taxis cotées en Bourse avec Patrick Bruel

    Aujourd’hui mercredi 30 juillet, la société de moto-taxis Motocab fait son entrée au Marché libre de la Bourse de Paris. La PME parisienne a déjà trouvé un actionnaire en la personne d’un de ses fidèles clients : Patrick Bruel, qui s’offre 10% du capital. Le chanteur et comédien siègera au conseil d’administration aux côtés du fond d’investissement Assaya Capital, actionnaire majoritaire depuis février, et des fondateurs de l’entreprise.

    Bruel, Lindon, Weber, Jugnot, CAC 40…

    Avec ses 50 machines, essentiellement des Honda 1800 Goldwing, Motocab est le leader français du transport de personnes à moto. La société espère un chiffre d’affaires de 1,8 millions d’euros à la fin de l’année. En triplant son parc de motos, elle vise les 27 millions d’euros d’ici trois ans.

    Les clients ont bien compris l’intérêt de la moto en ville et cette introduction au Marché libre de la Bourse tend à confirmer que la branche est prometteuse. D’ailleurs, outre d’autres personnalités, comme Gérard Jugnot, Vincent Lindon ou Francis Weber, Motocab transporte nombre de membres d’entreprises du CAC 40 (EADS, Crédit Agricole, etc.)…

    Source: capital.fr

  • Motocab en bourse: introduction demain sur le Marché Libre

    Motocab, un spécialiste du transport de personnes à moto, annonce son introduction en Bourse demain sur le Marché Libre de NYSE Euronext Paris, via un mécanisme de cotation directe.

    Le groupe précise avoir réalisé, préalablement à son entrée en Bourse, une augmentation de capital de 2,4 millions d’euros, entièrement souscrite par son actionnaire majoritaire, Assya Capital.

    Fondé en 2001, Motocab indique avoir fidélisé plus de 300 clients, dont près de 40% des entreprises cotées au CAC 40, ainsi que les principaux groupes bancaires internationaux et cabinets parisiens d’audit et d’avocats.

    L’inscription au Marché Libre par cotation directe interviendra le mercredi 30 juillet sur la base d’un cours de 6,25 euros par action, ce qui devrait valoriser la société à près de cinq millions d’euros après augmentation de capital.

    Motocab, qui dispose aujourd’hui d’une flotte de 28 motos Honda Goldwing, prévoit d’atteindre 250 véhicules à horizon 2010. Le groupe compte également se développer dans les grandes capitales européennes.

    Au-delà d’Assya Capital, une société d’investissement cotée sur Alternext, les autres actionnaires de Motocab sont Jérome Kraffe et Hervé Braunstein, les deux fondateurs du groupe, ainsi que Patrick Bruel.

    Source: cerclefinance.com