Catégorie : Mode, Luxe, retail

  • FIRSLUXE.COM

    First_luxe_logo "Ce projet audacieux propose un concept incroyablement novateur : ce véritable moteur de recherche du luxe sur internet mêle guides shopping, informations et reportages dans sept univers différents ! Un service de conciergerie intégré est aussi proposé aux membres pour faciliter leur shopping !

    Nous avons imaginé ce site comme un voyage unique dans le luxe grâce à une technologie nouvelle génération qui reconnait les membres Firstluxe et leur propose des contenus personnalisés adaptés à leurs goûts et à leurs préférences.

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    www.firstluxe.com

  • Le diamant noir se révèle au masculin

    Patrice_fabre_01_2 Longtemps resté tabou pour les hommes, le diamant devient aujourd’hui l’une des pierres évidentes de la joaillerie masculine. L’alliance de la virilité et de la sophistication, pour un effet luxe total.

    Digne représentant de la haute-joaillerie pour homme, Patrice Fabre est aussi l’un des créateurs les plus innovants de sa génération. Passionné de géologie autant que de gemmologie, il se fait connaître par la collection « BETON » dont le joaillier fête les 20 ans cette année. Particulièrement remarquée, c’est une ligne incomparable en béton armé d´or et serti de diamants. Pour la deuxième, il réintroduit en 2005 le diamant dans une parure de bijoux masculins et lance la ligne « Telluric ». Le bracelet caoutchouc et sa plaque d’or blanc incrustée de 7 diamants bruts cubiques connait un succès immédiat. Le design comme les matières énergiques et magnétiques alliant élégance et masculinité. Parmi les grandes nouveautés de la rentrée, signalons deux bagues contemporaines montées sur de l’or blanc brossé et enserrant un superbe diamant noir, ainsi que les boutons de manchettes « diamants brut de brut » avec diamant non taillé de 14,90 carats monté sur or jaune. Moderne ! Luxe ! Eclatant !

    Patrice Fabre 350 rue Saint-Honoré 75008. Tel. 01 42 60 62 74. Tarifs : bagues en diamants noirs 4,2 carats et or blanc brossé : à partir de 2900 €, boutons de manchette en diamants bruts 14,90 carats sur or jaune, à partir de 2400 €.

    Alexis Chenu
  • Les sous-vêtements Calvin Klein fêtent leurs 25 ans

    Ck Calvin Klein fête ses vingt-cinq ans de sous-vêtements. Fondée en 1982, la griffe Calvin Klein Underwear a célébré son anniversaire le 5 septembre dernier en grande pompe au siège new-yorkais du groupe ainsi que le lancement mondial de la nouvelle ligne de lingerie pour hommes et femmes Calvin Klein Steel. Des festivités orchestrées par deux acteurs : Djimon Hounsou deux fois nommé au Oscar et Hilary Swank deux fois oscarisée. Des maîtres de cérémonie pas tout à fait choisis au hasard. En effet, l’acteur et mannequin d’origine franco-béninoise Djimon Hounsou, qu’on a pu notamment voir dans Blood Diamond, exhibe fièrement ses courbes athlétiques pour la campagne d’automne de Calvin Klein Steel. Une gamme de sous-vêtements qui se compose de boxers moulants et de T-shirts aux matières permettant de maintenir la taille disponible dans une vingtaine de pays. Hilary Swank, quant à elle, fut l’une des égéries de la marque en 2004.

    Avec Calvin Klein Underwear, Calvin Klein fut l’un des premiers créateurs à étendre son univers à celui des sous-vêtements. D’abord avec ceux pour homme en 1982 puis un an plus tard en lançant une ligne dédiée aux femmes.

    De la première campagne de publicité mettant en scène le champion américain de saut à la perche en Grèce sous l’objectif de Bruce Weber, à l’image emblématique de Kate Moss et de Mark Wahlberg photographiés en 1992 par Herb Ritts, Calvin Klein Underwear a toujours fait primer l’image aux mots en faisant appel à des photographes de renom.

    Et vingt-cinq ans après son lancement, la griffe rencontre toujours un succès aussi fulgurant. Pour preuve : aujourd’hui, les propriétaires de la maison, le groupe Phillips-Van Heusen empochent de colossales royalties de Warnaco, détenteur de la licence Calvin Klein Underwear et réalise un chiffre d’affaires annuel avoisinant les 750 millions de dollars juste avec la lingerie. La griffe est d’ailleurs présente dans quatre cents points de vente à travers le monde dont de nombreux grands magasins et enseignes spécialisées.

    Source: fashionmag.fr

  • Retour sur le salon Bijorhca, Eclat de mode

    Bijorhca Sur Bijorhca, Eclat de Mode, les témoignages sont contrastés. Certains soulignent une vraie demande d’achat et une attitude professionnelle de la part des visiteurs. La fréquentation s’est révélée satisfaisante. « Nous n’avons pas arrêté », se réjouit Jean Antoine Bergue, fondateur de la société éponyme créée à Lisbonne au début de l’année. « Paris, c’est LA référence […]. Je suis convaincu que c’est le salon auquel nous nous devions de participer », ajoute-t-il. Le visitorat étranger a répondu présent. Les Français, également. Pour Aliocha Guez, créateur de sa propre marque baptisée Aliocha, « les nouveaux contacts ont afflué » même si les acheteurs internationaux se montrent plus « courageux que les Français pour la nouveauté ».
    Détentrice d’un stand de 27 mètres carrés pour lequel elle a déboursé 7 000 euros, Stéphanie Holms, responsable commercial de The WildCat Collection, déplore un nombre trop peu important de nouveaux clients. Même constat pour une griffe préférant rester anonyme : « On s’attendait à voir plus de monde et à rencontrer bien plus de nouveaux clients ». « De toute façon, les Français sont bien trop traditionnels, ils ne prennent aucun risque et ne vont voir que ce qu’ils connaissent déjà », ajoutent-ils. Ludovic Moireux de la société franco-hispano-indienne Poudou-Poudou, affirme : « C’est calme, mais efficace ». « Nous attendions le salon comme le messie afin de savoir quel accueil aurait nos collections et nous sommes très satisfaits de voir que la marque plaît ». Toutefois, Chez N2, Audrey Lieutaud, assistante de la direction, trouve des clients « plutôt venus pour du réassort »…

    Source: fashionmag.fr

  • Lollipops etend son univers au linge de maison

    Lollipops_01 Lollipops s’aventure dans le linge de maison. En effet, la griffe créée en 1998 par Marjorie Mathieu, ancienne élève au Fashion Intitute de New York, et Yann Ducarouge, ancien responsable des ventes grands comptes chez Henkel, étend ses accords de licence accompagnée par l’agence de conseils en licences de marques "Les fées existent".

    La marque sortira donc au printemps 2008 une ligne de draps fabriquée par C.T.I. se déclinant en trois thèmes disponibles en grandes et moyennes surfaces. Un réseau totalement inédit pour Lollipops plutôt habitué à ses propres boutiques et aux multimarques. Et si le mystère semble régner sur ces parures de lit, sachez qu’elles seront accompagnées de linge de toilette et d’accessoires de décoration au cours de l’année 2009.

    Lollipops souhaite également, grâce à de nouveaux contrats avec ADM Promotion lancer une ligne de montres destinée aux jeunes filles et des coffrets de maquillage. On pourrait bien retrouver la griffe au coeur de programmes de fidélisation des vépécistes, de la presse, de la distribution alimentaire et spécialisée.

    Présente dans 1 500 points de vente, Lollipops qui possède quatre-vingt-cinq boutiques en nom propre dans vingt-quatre pays du monde, souligne ainsi sa volonté d’étoffer ses lignes de produits dérivés qui comptent déjà papeterie scolaire, chaussures, optique et même téléphonie mobile.

    www.fashionmag.fr

  • Puma entre dans la maroquinerie haut de gamme avec Urban Mobility

    Puma_bag Puma passe en mode Urban Mobility. Marquant l’un des premiers pas de l’équipementier dans l’industrie du luxe, cette collection haut de gamme à la fois chic et urbaine arrivera à la rentrée prochaine dans les concept-stores de la griffe.

    Urban Mobility propose trois collections dédiées à trois utilisateurs spécifiques. Les voyageurs ont ainsi droit à la gamme "Out of Town" qui propose divers types de bagages. A commencer par le Cabin trolley (360 euros), petite valise à roulettes pratique pour ceux qui voyagent légers. Et pour ceux qui préfèrent le bon vieux sac de voyage, il existe le plus souple Small Cargo (220 euros). Sa particularité ? Le fond de ces deux modèles se pare de bois de frêne. Un concept qui s’applique aussi au portefeuille Document Wallet (140 euros), qui s’habille d’une pièce de bois sur toute sa partie supérieure. Les boucles des ceintures x-ray 180 et 200 (90 euros) s’ornent elles aussi d’un large panneau de bois verni.

    Pour les hyperactifs, la ligne "Out and About" s’est inspirée des coursiers à vélo. Elle propose le Large courier (125 euros), un sac à bandoulière équipé d’une double fermeture à clip et d’une protection d’épaule en néoprène. Plus souple, l’Utility Shopper Bag (130 euros) offre un rangement vertical dont le tissu rouge dévoile sous la pluie des motifs Urban mobility exclusifs. Avec deux longues bretelles réglables, il peut lui aussi être porté en bandoulière.

    "Out of Office" s’adresse aux working people en quête de style pour leur faciliter la vie de tous les jours. Pour ne pas se charger inutilement, la ligne propose le Comp Slip (45 euros), une pochette vert pomme pouvant contenir le strict nécessaire aux réunions : stylo, bloc-notes, cartes de visite et clef UBS. Et pour faire rapidement ses courses après le travail, Puma a conçu l’Utility Grocery Track (240 euros), bagage à mi-chemin entre caddie et sac de voyage.

    Pour fêter le lancement de sa ligne haut de gamme, les créateurs de la ligne ont imaginé l’Urban mobility edition bag. Un sac limité à six cents exemplaires conçu en cuir nappa blanc à bordures noires. Doublé de satin sombre, il possède un fond en bois de rose à la finition vernie ainsi que deux pochettes multifonctions en cuir. Numérotés, ces sacs collectors seront proposés dès la rentrée à 650 euros.

    Urban Mobility est également l’occasion pour Puma de poursuivre sa collaboration avec le fabriquant de vélos Biomega. Un partenariat qui donne naissance cette année au 8-speed Urban Mobility Bike. Equipé d’un mécanisme semi-pliant rapide, ce vélo aux lignes singulières propose un équipement dernier cri. Il sera disponible dans les concept-stores Puma pour 1 200 euros dans deux coloris : love2ride (rouge) et darklove (gris). Et pour pouvoir emmener son Mobility Bag aux quatre coins de la ville, le 8-speed est bien évidement équipé d’un porte-bagages.

    Source: fashionmag.fr

  • Richemont profite de la demande russe et chinoise

    Le prestigieux portefeuille de marques horlogères du numéro deux mondial du luxe a concouru à faire progresser le chiffre d’affaires du groupe au deuxième trimestre. Les ventes trimestrielles ont progressé de 15 % sur un an, à 1,268 milliard d’euros, un chiffre conforme aux prévisions des analystes (ces derniers estimaient une croissance des ventes comprises entre 13 % à 16 %).

    L’activité Montres de luxe dopée par les bonus record versés aux banquiers et la forte croissance économique en Asie continue d’assurer la bonne santé de l’entreprise. Avec des marques comme Cartier, Van Cleef & Arpels, Piaget, Montblanc et Lancel, la division a enregistré la plus forte progression (+ 24 % à taux de change constant à 367 millions d’euros), bénéficiant d’une forte demande mondiale.

    Cette bonne tenue témoigne de la vitalité des exportations horlogères de la Suisse, qui a réalisé en 2006 une année record avec 8,56 milliards d’euros (+ 10,9 %). Rappelons que Richemont dispose de tout un portefeuille de marques horlogères très prestigieuses et vend ses modèles les plus chers à plus d’un million de francs suisses (650 000 euros).

    Dans le même temps, l’activité joaillerie de Richemont a progressé de 12 % à 638 millions, notamment grâce aux ventes en Asie et en Europe. La division instruments d’écriture a également gagné 12 % à 140 millions, les cuirs et accessoires 7 % (62 millions) et les autres activités 11 % (61 millions).

    Le groupe est aussi présent dans le secteur de la maroquinerie, avec sa filiale française Lancel, qui a connu de grosses difficultés ces dernières années.

    Pour l’exercice 2006-07 (clos fin mars), Richemont avait publié un bénéfice net de 1,33 milliard d’euros, en hausse de 21 % sur un an, et un chiffre d’affaires de 4,83 milliards (+ 12 %), dans un contexte de forte expansion de marché global du luxe, très favorable à la marque, notamment en Chine, en Russie et au Moyen-Orient.

    Source: AFP

  • Les dix premières fortunes professionnelles en France, selon Challenges

    Vuitton Voici le classement des dix premières fortunes professionnelles de France, exprimées en milliards d’euros, selon la liste 2007 établie par le magazine économique Challenges publié jeudi 12 juillet.

    1 – Bernard Arnault (LVMH, luxe) 23,0
    2 – Gérard Mulliez et sa famille (Auchan, distribution) 17,0
    3 –
    Liliane Bettencourt et sa famille (L’Oréal, cosmétiques) 15,9
    4 –
    François Pinault et sa famille (PPR, luxe) 10,3
    5 – Romain Zaleski (Carlo Tassara, industrie) 9,1
    6 – Bernard Puech et famille
    Hermès (Hermès, luxe) 7,9
    7 – Serge Dassault et sa famille (Dassault, industrie) 7,3
    8 – Robert Louis-Dreyfus et famille (Louis Dreyfus, services) 7,0
    9 – Jacques Servier et famille (Laboratoires Servier, pharmacie) 6,0
    10 – Robert Halley et famille (Carrefour, distribution) 5,1

    Source: AFP

  • Lollipops multiplie les ouvertures de boutiques

    Lollipops_2 En 2006, Lollipops a enregistré un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros. Une jolie somme due en grande partie aux exportations de cette marque de maroquinerie et d’accessoires qui réalise près de 80 % de ses ventes hors du territoire national. Une position que la griffe compte bien asseoir.

    Sacs, chaussures, chapeaux, ceintures, tee-shirts ! Lollipops crée près de cinq cents modèles inédits chaque saison. Un dynamisme qui semble payer, puisque au premier semestre 2007 le chiffre d’affaires de l’enseigne a progressé de 11 % par rapport à l’an passé. Ces résultats encourageants boostent les prévisions ambitieuses de la marque : l’ouverture de deux magasins en France et de vingt-cinq à l’international cette année. Des boutiques à l’atmosphère chaleureuse entièrement théâtralisées dont la surface moyenne s’étend de trente à quarante mètres carrés.

    En effet, la marque créée en 1998 par Marjorie Mathieu, ancienne élève à l’institut de mode de New York, et Yann Ducarouge, ancien responsable des ventes grands comptes chez Henkel, est déjà présente dans 1 500 points de vente et possède quatre-vingt-cinq boutiques en nom propre dans vingt-quatre pays du monde. Pourtant ses ambitions ne s’arrêtent pas là, et le printemps 2007 a été un véritable concert d’éclosion de boutiques.

    En Amérique du Nord d’abord, avec deux nouvelles boutiques, la première à Miami (Eats-Unis) et la seconde à Montréal (Canada). Des ouvertures qui se poursuivent en Orient avec un magasin dans la chaleur de Dubaï (Emirats Arabes Unis) puis un autre à Valence (Espagne).

    Mais c’est en mettant le cap sur le grand nord que l’enseigne prend un nouveau tournant. Lollipops amorce un déploiement multicanal, par le biais de détaillants multimarques et master-franchise, en Scandinavie. Un premier concept-store vient d’ailleurs d’ouvrir ses portes à Stockholm (Suède). Une pénétration rapide du marché suivie par la création de deux autres points de vente sur le territoire suédois. La Norvège et le Danemark ne sont pas en reste puisque l’enseigne prévoit des ouvertures au cours de l’année 2008.

    Pas de repos estival non plus, puisque les ouvertures se poursuivent pendant l’été. Tandis que la Réunion et la Belgique accueillent pour la seconde fois une boutique Lollipops respectivement à Saint-Denis et à Genève, un sixième point de vente russe voit le jour à Ekaterinbourg dans le centre commercial Mega. En Egypte, c’est également une seconde boutique qui ouvre ses portes dans la station balnéaire de Sharm el Sheikh, et une troisième ouverture est prévue d’ici à la fin de l’année.

    D’autres projets sont également en cours. Un flagship doit voir le jour en Chine dans la ville des grands lacs à Hangzhou, et la seconde boutique israélienne Lollipops est en passe d’ouvrir à Haïfa.

    La France devrait aussi voir son nombre de boutiques passé à vingt-trois grâce à un nouveau magasin breton situé à Rennes. La Belgique, elle, fera l’objet d’une offensive en franchise. Un programme chargé donc pour la marque française Lollipops qui par ailleurs déploie une version e-commerce de sa vitrine Internet sur www.lollipops.fr/eshop/.

    Source: fashionjob.fr

  • Le Stade Français a désormais sa marque de cosmétiques

    Stade_francais Année de la Coupe du monde de rugby oblige, une gamme de produits cosmétiques "Dieux du stade" sort ce mois-ci.
    Elle est composée de huit produits, à des prix oscillant entre 17 et 45 euros. Crème anti-rides, gel nettoyant exfoliant, shampoing, déodorant, crème antifatigue: il s’agit d’une ligne complète. Les noms des produits sont empruntés au rugby, avec par exemple un gel "coup d’éponge", une crème anti-rides "surface de réparation", et un gel "retour au vestiaire".

    Ces produits, aux couleurs noir et argent, sont garantis sans paraben. La ligne Dieux du stade est disponible à la vente en ligne sur le site du Stade Français, Stade.fr, dans les magasins de la chaîne Parashop, et dans la boutique du Stade Français.

    Adresse de la boutique: 2, rue du Commandant Guilbaud, 75016 Paris