Fortune : 43 milliards de dollars
Age : 50 ans
Nationalité : Indien
Plus d’infos sur Mukesh Ambani et l’origine de sa fortune, cliquez ICI.
Fortune : 43 milliards de dollars
Age : 50 ans
Nationalité : Indien
Plus d’infos sur Mukesh Ambani et l’origine de sa fortune, cliquez ICI.
Fortune : 45 milliards de dollars
Age : 57 ans
Nationalité : Indien
Plus d’info sur Lakshmi Mittal et l’origine de sa fortune, cliquez ICI.
Fortune : 58 milliards de dollars
Age : 52 ans
Nationalité : Américain
Plus d’infos sur Bill Gates et l’origine de sa fortune, cliquez ICI.
Fortune : 60 milliards de dollars
Age : 68 ans
Nationalité : Mexicain
Plus d’infos sur Carlos Slim Helu et l’origine de sa fortune, cliquez ICI.
Fortune : 62 milliards de dollars
Age : 77 ans
Nationalité : Américain
Plus d’infos sur Warren Buffet et l’origine de sa fortune, cliquez ICI.
Voici le classement des 10 hommes les plus riches du Monde établi par le magazine américain Forbes :
Les 10 premiers milliardaires mondiaux (Forbes)
|
||||
---|---|---|---|---|
Rg
|
Nom
|
Age
|
Fortune en dollars
|
Pays
|
1 |
Warren Buffett
|
77
|
62 milliards
|
US
|
2 |
Carlos Slim Helu
|
68
|
60 milliards
|
Mex.
|
3 |
Bill Gates
|
52
|
58 milliards
|
US
|
4 |
Lakshmi Mittal
|
57
|
45 milliards
|
Indien
|
5 |
Mukesh Ambani
|
50
|
43 milliards
|
Indien
|
6 |
Anil Ambani
|
48
|
42 milliards
|
Indien
|
7 |
Ingvar Kamprad
|
81
|
31 milliards
|
Suedois
|
8 |
KP Singh
|
76
|
30 milliards
|
Indien
|
9 |
Oleg Deripaska
|
45
|
28 milliards
|
US
|
10 |
Karl Albrecht
|
88
|
27 milliards
|
All.
|
Pour otbtenir une courte biographie de ces hommes et connaître l’origine de leurs fortunes, cliquez ICI.
Source : Forbes, février 2008
Pour un grande occasion, j’ai eu le plaisir de diner ce week-end dans un restaurant gastronomique délicieux "Le Camelia" à Bougival que je recommande à tous amateurs de bonne cuisine. Une grande table ronde, une ambiance chaleureuse et surtout une cuisine pleine de douceurs et de saveurs.
Certes l’addition est à la hauteur mais ce restaurant, tenu il y a de nombreuses années par Delaveyne, fait aujourd’hui parti de mes references. Je vous conseille le menu Degustation que j’ai eu le plaisir de savourer:
Les Deux Caviars en Gelée d’Estragon et Caillé de Topinambours
Salade de Saint Jacques et Asperges et Vinaigrette de Truffe Fraîche
Nage de Lotte aux Olives de Sicile avec un Risotto d’Avoine de Savoie
Filet Mignon de Veau Fermier au Poivre Rouge, Les Trois Carottes
Poêlée de Gariguettes et Myrtilles au Miel de Citron Vert accompagnée d’une Glace Macaron Violette et d’une Mousse Barbe à Papa
Mignardises
Adresse:
Le camelia
7 quai, Georges clemenceau
78380 Bougival
Tel: 01.39.18.36.06
Après Virgin Atlantic, Richard Branson persévère dans l’aviation, version eBay. L’entrepreneur en série a annoncé mardi 4 mars le lancement de la version bêta de Virgin Charter, une place de marché spécialisée dans la réservation de jets privés au départ des Etats-Unis. Il espère ainsi se tailler la plus grosse part d’un marché en plein boom depuis les attentats du 11 septembre 2001, évalué à 30 milliards de dollars aux Etats-Unis.
Actuellement, la plupart des réservations de jets privés se fait en général par téléphone via des courtiers spécialisés. Or la tâche peut s’avérer fastidieuse au point de pouvoir parfois nécessiter plusieurs heures de recherche et de comparaison. En mettant directement clients et compagnies en relation, Virgin Charter entend donc simplifier la réservation d’appareils. Mais pas seulement : la filiale de Virgin USA prétend pouvoir proposer des tarifs 20 % inférieurs à ceux du marché traditionnel, en prélevant une commission inférieure à celle des courtiers.
Outre-Atlantique, plusieurs pure players ont déjà pris position sur ce marché, comme CharterX ou AirCharter.com DayJet (lire DayJet lance un service de jets privés à la demande sur Internet, du 20/09/07) avec plus ou moins de succès, la mise à jour des tarifs et de la disponibilité des différents avions devenant rapidement complexe. Virgin Charter veut justement déléguer cette tâche aux compagnies elles-mêmes : lorsqu’un client soumettra un itinéraire, les différentes compagnies intéressées formuleront un devis sous forme d’enchère.
Pour convaincre ces dernières de jouer le jeu, Scott Duffy, le directeur général de Virgin Charter à l’origine du projet, dispose d’un argument de poids : Virgin Charter leur permettra d’optimiser l’utilisation de leurs appareils en évitant les vols "à vide". Selon lui, 40 % des vols de l’aviation privée aux Etats-Unis se font tout simplement sans passagers, les compagnies n’attendant généralement pas le trajet retour de leurs clients pour ramener les appareils sur leurs aéroports d’origine. Cette optimisation des jets devrait également favoriser l’émergence de tarifs plus compétitifs.
La sortie de la version définitive de cette place de marchée spécialisée est prévue pour le mois de septembre. Sur les quelques 2.500 compagnies aériennes spécialisées dans l’aviation privée (dont la plupart ne possèdent que trois à quatre avions), la filiale de Virgin USA a réussi à convaincre une soixantaine d’opérateurs de participer à sa version expérimentale. D’ici l’automne elle souhaite passer des partenariats avec une centaine de compagnies, donnant accès à un millier d’appareils.
Virgin Charter n’opérera dans un premier temps qu’aux Etats-Unis où le nombre de jets privés en circulation devrait doubler d’ici 2020 pour atteindre 22.000 appareils, selon l’administration fédérale de l’aviation américaine. Selon l’agence Reuters, Virgin Charter devrait cependant étendre rapidement son activité en Europe.
Source: Benoit méli, JDN
Les notions de COCA (cost of customer acquisition) et de "repeat business" expliqué par Michel de Guilhermier, c’est ici:
Les sociétés de motos-taxis confient leur client à des pilotes chevronnés, naturellement, et calmes. Ainsi les anciens motards de presse ou de la gendarmerie sont en tête des profils croisés sur les routes. Chez Skoot, "ils ont tous ou presque plus de cinquante ans", précise Xavier Fonte, son fondateur. Leur salaire de base est d’environ 2.000 euros net par mois.
Source: Eric de Legge, Journal du Net