Auteur/autrice : TWOGETHER

  • Motocab: Mr Hervé rappelle les prévisions du groupe pour les prochains exercices

    Suite à l’introduction en bourse de la société Motocab dont j’ai parlé ICI et , Philippe Hervé,  PDG de motocab et DG d’Assya Capital, rappelle les prévisions du groupe pour les prochains exercices: "Nous visons un chiffre d’affaires de 1,8 ME et nous afficherons sans doute une perte nette de 1,2 ME, liée aux investissements et aux développements. En 2009, nous comptons atteindre 13 ME de CA avec un résultat à l’équilibre. En 2010, nous visons 27 ME de CA pour un résultat de 2,3 ME."

    Le dirigeant ajoute: "Les investissements nous permettent d’agrandir le parc de motos mais aussi de structurer la société, à la fois sur le plan informatique, ainsi qu’au niveau des outils de géolocalisation des motos. Lorsque nous avons repris la société, elle n’était pas du tout organisée en terme de procédure.

    Pour  voir l’interview dans son intégralité, cliquez ICI.

  • Les motos-taxis devraient être réglementés prochainement

    Moto_taxi_08 Ils sont plusieurs centaines à circuler dans la capitale et les grandes villes de province, et ce sans aucun contrôle spécifique. Selon nos informations, le ministère de l’Intérieur s’apprête à mieux encadrer l’activité des moto-taxis.

    SUR DES CHAPEAUX de roue. C’est dès la rentrée que le ministère de l’Intérieur a prévu, selon nos informations, de s’atteler à la réglementation des motos-taxis. Il y a urgence. Car le secteur, en pleine croissance, souffre d’un sérieux vide juridique.

    Une activité qui explose.
    Apparus pour certains il y a plus de vingt ans dans la capitale, les motos-taxis ont mis deux décennies à s’installer dans le paysage.

    Aujourd’hui, ils seraient entre 150 et 300 à Paris, les autorités avouant ne disposer d’aucun chiffre officiel. La plupart sont des indépendants, seules quelques entreprises se détachant du lot. Patron d’un des leaders du secteur, Philippe Hervé est très optimiste. Sa société, MotoCab, est entrée en Bourse le 30 juillet. Une introduction certes faite sur le marché libre, réservé aux toutes petites structures. Mais c’est un début. D’autant que, parmi les actionnaires, figure un de ses fidèles clients : le chanteur et comédien Patrick Bruel. MotoCab s’attend à voir son chiffre d’affaires multiplié par sept d’ici l’an prochain pour atteindre 13 millions d’euros en 2009 et 27 millions en 2010.

    Une réponse à un réel besoin. Ce succès, que partagent des entreprises comme City Bird ou Skoot, tient à une demande en plein boom. Tout d’abord parce que la capitale manque de taxis. « Le nombre de taxis à Paris n’a pas évolué depuis quinze ans. Ils sont quinze mille », soulignait au printemps Michèle Alliot-Marie dans nos colonnes (nos éditions du 28 mai). Mais aussi et surtout parce que, pour les clients, le deux-roues est synonyme de sérieux gains de temps.

    Une réglementation spécifique. En matière de moto-taxi, « nous sommes face à un vide juridique », soulignait sans ambages le préfet Pierre Chassigneux, dans son rapport sur les taxis, remis au printemps au gouvernement. Et pour cause : alors que les taxis « à quatre roues » possèdent une licence et sont scrupuleusement contrôlés par les pouvoirs publics, rien de tel aujourd’hui pour les deux-roues. Ces derniers ne font en effet l’objet d’aucun contrôle particulier, tant d’un point de vue technique qu’au niveau de l’assurance. Et c’est avant tout à cela que le gouvernement entend répondre. Selon nos informations, le ministère de l’Intérieur se penchera donc sur deux points prioritaires à la rentrée : l’assurance, l’objectif étant de vérifier que chaque pilote est en règle ; et s’assurer de la solidité et du sérieux de l’ensemble des entreprises du secteur et des pilotes qu’elles emploient. Cela devrait passer par une autorisation préfectorale de l’activité, aujourd’hui inexistante. Des contraintes que les professionnels eux-mêmes appellent de leurs voeux. « Nous réclamons une réglementation qui permettrait de s’assurer du sérieux de l’ensemble des acteurs du secteur », confirme Philippe Hervé.

    Source: Le Parisien – Olivier Aubry

  • Question conso: motos ou taxis? JT de 20H sur FR2

    Fr2_20h Après le reportage sur les Taxis-moto au 20 heures de TF1 (ICI), c’est au tour de France 2 dans l’edition du 2 Aout à 20h dans sa rubrique "Question conso" de faire un comparatif entre les taxis classiques et les taxis moto en terme de temps et de prix.

    Trajet Paris – Aéroport Roissy CDG

    Taxi moto – 35 minutes – 75 € / Taxi – 55 miniutes – 54 €

    Trajet Paris – Aéroport de Orly

    taxi moto – 30 minutes – 55 € / Taxi – 45 minutes – 35 €.

    Pour voir le reportage en vidéo, cliquez ICI (Edition du 02 Aout 2008).

  • Des moto-taxis cotées en Bourse avec Patrick Bruel

    Aujourd’hui mercredi 30 juillet, la société de moto-taxis Motocab fait son entrée au Marché libre de la Bourse de Paris. La PME parisienne a déjà trouvé un actionnaire en la personne d’un de ses fidèles clients : Patrick Bruel, qui s’offre 10% du capital. Le chanteur et comédien siègera au conseil d’administration aux côtés du fond d’investissement Assaya Capital, actionnaire majoritaire depuis février, et des fondateurs de l’entreprise.

    Bruel, Lindon, Weber, Jugnot, CAC 40…

    Avec ses 50 machines, essentiellement des Honda 1800 Goldwing, Motocab est le leader français du transport de personnes à moto. La société espère un chiffre d’affaires de 1,8 millions d’euros à la fin de l’année. En triplant son parc de motos, elle vise les 27 millions d’euros d’ici trois ans.

    Les clients ont bien compris l’intérêt de la moto en ville et cette introduction au Marché libre de la Bourse tend à confirmer que la branche est prometteuse. D’ailleurs, outre d’autres personnalités, comme Gérard Jugnot, Vincent Lindon ou Francis Weber, Motocab transporte nombre de membres d’entreprises du CAC 40 (EADS, Crédit Agricole, etc.)…

    Source: capital.fr

  • Motocab en bourse: introduction demain sur le Marché Libre

    Motocab, un spécialiste du transport de personnes à moto, annonce son introduction en Bourse demain sur le Marché Libre de NYSE Euronext Paris, via un mécanisme de cotation directe.

    Le groupe précise avoir réalisé, préalablement à son entrée en Bourse, une augmentation de capital de 2,4 millions d’euros, entièrement souscrite par son actionnaire majoritaire, Assya Capital.

    Fondé en 2001, Motocab indique avoir fidélisé plus de 300 clients, dont près de 40% des entreprises cotées au CAC 40, ainsi que les principaux groupes bancaires internationaux et cabinets parisiens d’audit et d’avocats.

    L’inscription au Marché Libre par cotation directe interviendra le mercredi 30 juillet sur la base d’un cours de 6,25 euros par action, ce qui devrait valoriser la société à près de cinq millions d’euros après augmentation de capital.

    Motocab, qui dispose aujourd’hui d’une flotte de 28 motos Honda Goldwing, prévoit d’atteindre 250 véhicules à horizon 2010. Le groupe compte également se développer dans les grandes capitales européennes.

    Au-delà d’Assya Capital, une société d’investissement cotée sur Alternext, les autres actionnaires de Motocab sont Jérome Kraffe et Hervé Braunstein, les deux fondateurs du groupe, ainsi que Patrick Bruel.

    Source: cerclefinance.com

  • Introductions : le taxi-moto arrive en Bourse

    Logo_motocab Invest Securities pilote l’introduction en bourse de la société Motocab. Elle aura lieu mercredi, par le biais d’une cotation directe sur le Marché Libre, au cours de 6,25 Euros, valorisant la société moins de 5 ME. 3.200 titres seront cédés par Yosbely Kraffe.
    Motocab est positionné depuis 2001 sur le marché du transport de personnes à motos. Parmi ses clients, la société revendique 15 entreprises du CAC40.
    Sur le trajet Paris-Roissy standard, Motocab revendique une course comprise entre 25 et 40 minutes. Pour Paris-Orly entre 20 et 30 minutes.

    Source: Finance plus

  • Le succès grandissant des motos-taxis

    Moto_taxi_07 Cyril patientait dans un taxi bloqué par un embouteillage lorsqu’il a repéré, sur le flanc d’une moto qui le dépassait, l’inscription "Motodiligence", suivie d’un numéro de téléphone. Depuis, ce responsable des ventes, souvent en déplacement, ne quitte plus Stéphane, 37 ans, tatouages apparents, chauffeur à moto. "J’utilise ce service pour me rendre aux aéroports, dans les gares et pour mes rendez-vous dans Paris", raconte Cyril.

    Nathalie, cadre dans une entreprise, s’est laissé tenter un jour où la file d’attente des taxis lui semblait désespérément longue. "De Roissy ou d’Orly, je mets trente minutes pour rentrer chez moi au lieu d’une heure et quart. Et lorsque je prends un long-courrier qu’il n’est pas question de rater, c’est idéal", témoigne-t-elle.

    Depuis quelques mois, le succès des "moto-taxis" ne se dément pas. "Nous étions 80 en septembre 2007 en Ile-de-France, nous sommes environ 300 aujourd’hui", indique Bader Bourlier, qui, comme tous les pilotes, a créé sa propre société, Shuttle Bike. "En l’absence de législation, nous sommes assimilés aux limousines avec chauffeur. Les compagnies d’assurances exigent au moins cinq ans de permis sans aucun accident", précise-t-il. Rencontré aux abords d’Orly, où il vient de déposer un client, Fabrice, 41 ans, parle volontiers de son métier ; des soirées où il part "à la pêche" de nouveaux clients dans les gares parisiennes, quitte à déclencher "une embrouille" avec les chauffeurs de taxi.

    Le service existe aussi dans quelques grandes villes de province, alimenté "à 70 % par des hommes d’affaires parisiens déjà utilisateurs", assure Laurent Zerbib, de Chrono Moto, une structure lyonnaise. "Mais pour être rentable, ce trafic doit être adossé au transport de petits colis", constate-t-il.

    Les clients sont "pour la plupart des cadres dirigeants entre 30 et 55 ans, qui maîtrisent leur agenda et leurs dépenses", indique Xavier Fonte, fondateur de Skoot, l’un des groupements réunissant des chauffeurs indépendants. Ces utilisateurs pressés se font généralement rembourser la course par leur employeur. Il leur en coûte autour de 50 euros pour un Paris-Orly, 70 euros pour Roissy, et environ 30 euros pour une course intra-muros.

    Ponctuellement, le service répond aussi aux besoins des particuliers, ajoute M. Fonte : "des personnes qui doivent prendre un avion mais qui, arrivées à l’aéroport, ont oublié leur passeport ; cela arrive dix fois par semaine."

    Les chauffeurs tiennent à rassurer leurs clients. Ils ne conduisent pratiquement que des véhicules haut de gamme, à l’image de la large Honda Goldwing, souvent décrite comme "la Rolls-Royce de la moto". "Nous n’employons que des chauffeurs âgés de plus de 45 ans, afin de rassurer le client", explique M. Fonte.

    Avant de s’installer confortablement sur le siège arrière et de mettre le casque qu’on lui prête, le passager enfile une charlotte sur sa tête, jetée après utilisation. "Nous lui remettons également un blouson, des gants et un tablier recouvrant les jambes", précise M. Bourlier. L’équipement, léger ou protégeant du froid, est adapté à la saison.

    Un système Bluetooth assure la communication entre le chauffeur et son passager. "Il nous arrive de paramétrer le téléphone d’un client qui souhaite passer des appels pendant la course", ajoute M. Bourlier.

    Malgré les similitudes avec les taxis, les chauffeurs récusent prudemment l’appellation de "moto-taxi". "Un taxi est un véhicule à quatre roues", assure-t-on à la préfecture de police de Paris, où l’on explique que "les motocyclistes ne disposent pas d’espace réservé sur la voie publique et qu’ils ne sont autorisés à travailler que sur réservation".

    A l’aéroport d’Orly, où la sécurité est assurée par la police de l’air et des frontières, il en va pourtant différemment. Dans le hall des arrivées de l’aérogare ouest, un comptoir arbore une inscription explicite en noir sur fond orange : "navettes moto". Depuis le 15 juillet, Jean-Pierre met en contact les voyageurs avec une quarantaine de chauffeurs. "C’est un début de reconnaissance", affirme-t-il.

    Source: Le mondeOlivier Razemon

  • Journée Nationale de la Moto et du Scooter le 9 septembre 2008, Circuit Carole.

    Journee_nationale_moto_et_scooter_3 "500.000 véhicules légers à moteur ont été vendus en 2007. Plus de 4 millions de français ont au moins une fois roulé sur un 2 roues à moteur en 2007. 5000 entreprises, dont 6 usines sont implantées sur notre territoire et font travailler plusieurs milliers de personnes.
    La moyenne de la consommation d’essence d’un 125 est inférieur à 3 litres au cent kilomètre. Tous les services de l’Etat et de nombreuses grandes entreprises utilisent la moto ou le scooter comme outil de travail. Les motos modernes sont aux normes de pollution Euro3, et certaines peuvent même reçevoir l’ABS, voire l’Airbag!

    Et pourtant, malgré toutes ces valeurs extrêmement positives pour la moto et le scooter, le monde du 2 roues à moteur souffre d’une image fortement perfectible.
    C’est pour cette raison que l’agence Detocom, en partenariat avec Axa prévention et Club 14, avec le soutien de toutes les chambres syndicales professionnelles françaises et européennes et l’aide importante de la FFM, a décidé d’inaugurer, le 9 septembre prochain à Carole (près de Roissy Charles de  Gaulle), la 1ère Journée Nationale de la Moto et du Scooter

    Cette journée, dont l’entrée, sur invitation uniquement, sera réservée à la presse, aux "politiques" et aux revendeurs, a pour but de mettre en avant les énormes progrès accomplis par la moto et le scooter en terme de protection de l’environnement, d’amélioration de la sécurité, de meilleure intégration dans la société française…

    De nombreux exposants seront présents dans un village dédié, pour mettre en avant leurs véhicules et les faire essayer aux invités sur les différentes pistes mises à disposition, avec un tracé 100% tout terrain. Ils dévoileront certaines nouveautés en exclusivité quasi mondiale!

    Plusieurs démonstrations de nature sécuritaire et environnementale seront organisées, notamment le trophée Ecomotoconduite destiné à récompenser les motocycles et les conducteurs les plus économes en carburant.
    Avec la JNMS, la moto et le scooter feront, en septembre, leur entrée officielle dans l’actualité citoyenne."

    Source: www.journee-motoscooter.fr

  • zaGaz.com

    Zagaz Avec zaGaz.com dont j’avais déjà parlé ICI, vous pouvez suivre les évolutions de prix des carburants en temps réel et trouver la station service la moins chère de votre domicile ou lieu de travail en cliquant ICI.

    Je prends poiur exemple la ville de levallois Perret. A  1 km de mon domicile, zaGaz reference 6 stations services :

    BP Victor Hugo SP95 € 1.549 / BP Président Wilson SP95 € 1.559 / Garage parking du marché SP95 € 1.569 / Shell Porte d’Asnières € 1.67 / Leclerc Clichy € 1.479 / Total Clichy € 1.6

    Relevé effectué sur ZaGaz.com le 16/07/08.

    Soit un prix au plus bas de € 1.479/L et un prix au plus haut de € 1.67/L, une variation de 12.9% du prix au litre pour 2 stations situées à moins de 1 km l’une de l’autre.

    Avec cette semaine, un cours du pétrole au plus haut de $ 146.20, zaGaz offre un réel interêt aux particuliers et professionnels pour effectuer en quelques clics une vrai étude de marché.

  • Automobile – Hors-la-loi, les PV de stationnement ?

    Amende Une association soutient qu’aucun texte de loi n’oblige à placer visiblement son ticket de stationnement. Les PV dréssés sur ce motifs sont donc illégaux. face à un juge de Versailles, l’association a obtenu la relaxe d’une automobiliste sur ce simple motif [Lire la suite sur le site de LCI.fr].